Conférence : "La Suisse et l'islam"
Tenue à La Chaux de Fonds, le 31 août 2018 :

 

Suisse : le colloque de l'islamisation

 

Les universités suisses, l’islam et la désinformation massive.

 

 

En Suisse, nous avons assisté à une véritable opération de désinformation massive : le colloque sur la prétendue « hostilité envers les musulmans ». Des moyens particulièrement importants ont été engagés dans cette immense opération de manipulation. La Commission Fédérale contre le Racisme, les universités et les organisations islamiques de Suisse, ont rassemblé leurs ressources pour ce colloque organisé sous l’égide de Centre Suisse-islam et société, de l’Université de Fribourg.

Après avoir entendu le message du conseiller fédéral, Alain Berset, qui ne comprend pas pour quelles raisons, l’image de l’islam se soit assombrie, on a eu droit aux explications de Martine Brunschwig Graf, la présidente de la Commission fédérale contre le racisme. Avec beaucoup d’aplomb, elle nous explique que des études scientifiques ont amené les organisateurs à dénoncer l’hostilité envers les musulmans. Quand on parle d’hostilité envers les musulmans, il s’agit selon elle, d’une vérité scientifiquement démontrée. Les « sommités scientifiques » qui l’entouraient, nous jurent la main sur le cœur, qu’elles ont poursuivi des études approfondies : sous leurs microscopes, elles n’ont vu que de l’hostilité envers les musulmans. Le terrorisme islamique ou les ravages de l’islamisme en Europe et dans le reste du monde, ils semblent n’y trouvent aucune trace. Ils sont formels : leurs affirmations ne représentent pas une opinion personnelle ou un courant politique, encore moins une propagande, mais une vérité ultime scientifiquement établie.

Les dizaines de milliers d’attentats commis par les terroristes au nom d’Allah, les prêches de haine diffusés sans aucune honte par les mosquées en Suisse et dans les reste de l’Europe, n’apparaissent pas dans les études des organisateurs de ce colloque de la honte. Quand les propos haineux figurent explicitement dans sur les sites des mosquées, nos scientifiques et nos antiracistes semblent frappés d’aveuglement :

 

http://www.blog.sami-aldeeb.com/2017/09/06/mosquee-de-lausanne-hostilite-envers-les-chretiens-et-les-juifs-discrimination-de-la-femme/

 

http://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch/archive/2017/09/22/la-mosquee-de-lausanne-et-l-effroyable-danger-de-mecreance-286486.html

 

Ces organisateurs se présentent comme des « éminents scientifiques » guidés uniquement par l’antiracisme et la défense des êtres humains victimes de discriminations. Pour ces spécialistes, les centaines de milliers de victimes innocentes du terrorisme islamique, n’ont aucun lien avec le Coran et ses prescriptions de haine et de violence. Les sites de la « fachosphère », avec Riposte Laïque en première place, sont les seules métastases cancérigènes qui menacent l’Europe et le reste du monde. Parole d’universitaires « professeurs et chercheurs » : la menace islamique n’est qu’un fantasme « islamophobe ».

Chers lecteurs, on nous intime cet ordre avec autorité : nous n’avons d’autre choix que de se prosterner devant cette « vérité scientifique » au service d’Allah, le plus grand Saigneurs des saigneurs.

Les microscopes de nos chercheurs ne révèlent qu’une seule « vérité » scientifiquement et islamiquement établie : notre horrible hostilité envers les musulmans.

Et quand nous demandons en quoi consiste cette horrible hostilité, c’est le Président du Centre Suisse Islam et Société de l’Université de Fribourg, le Professeur Docteur Hansjörg Schmid qui nous explique doctement :

« On constate une dévalorisation croissante des musulmans et de l’islam. Ce phénomène qualifié d’hostilité envers les musulmans, est à mettre en lien avec le discours sur l’islam… Il n’est pas aisé d’opérer une distinction nette entre la critique de la religion (l’islam) et l’hostilité envers les musulmans… »

Voilà comment notre professeur s’exprime avec une « clarté scientifique », en mettant dans le même sac, l’islam et les musulmans. L’islam qui se définit lui-même comme une doctrine politico-religieuse, est amalgamé avec les personnes musulmanes, par ceux-là même qui nous ordonnent à grands cris de « ne faites pas d’amalgame entre islam et les horreurs commises en son nom ».

 

 

Du haut de leur « science », ces personnalités proclament avec autorité à l’ensemble du peuple suisse et des peuples européens : « faites l’amalgame entre islam et musulman, mais ne faites pas l’amalgame entre islam et terrorisme ».

Ceux qui osent rappeler que l’islam prescrit le terrorisme, aussi bien dans le Coran que dans les Hadiths, se font traités par les éminents professeurs comme des ignorants qui ne connaissent rien au saint Coran et au noble prophète de l’islam.

Et pourtant, le Dieu du Coran se définit lui-même comme un terroriste, comme le montre ces versets parmi tant d’autre :

(S59, V2) : « C'est Lui (Allah) qui a expulsé de leurs maisons, ceux parmi les gens du Livre (les juifs) … ils pensaient que leurs forteresses les défendraient contre Allah. Mais Allah est venu à eux par où ils ne s'attendaient point, et a lancé la terreur dans leurs cœurs. »

(S33, V26-27) : « Il les a fait descendre de leurs forteresses et Il a jeté la terreur dans leurs cœurs ; un groupe d'entre eux (les enfants mâles et les hommes) vous tuiez, et un groupe (les femmes et les filles) vous faisiez prisonniers (en les partageant entre vous comme esclave sexuelles). Et Il vous a fait hériter leur terre, leurs demeures, leurs biens, et aussi une terre que vous n'aviez point foulée. Et Allah est tout puissant (dans le pillage). »

Le Dieu du Coran ne se contente pas de se définir lui-même comme terroriste. Il ordonne à ses fidèles de pratiquer le terrorisme quand ils combattent dans son chemin :

(S8, V60) : « Et préparez contre (les infidèles) tout ce que vous pouvez comme force et cavalerie équipée, afin de terroriser l’ennemi d'Allah et le vôtre, et d'autres encore que vous ne connaissiez pas, mais qu'Allah connaît. »

Sachant qu’ils allaient mettre en œuvre ces prescriptions de terreur, le Dieu du Coran félicite ses fidèles : (S59, V13) : « Vous jetez dans leurs cœurs plus de terreur qu'Allahlui-même. »

Pour ceux qui pratiquent le déni de vérité et refusent d’assumer ces prescriptions coraniques, en prétendant que le Coran ne doit pas être compris d’une manière littéraliste, on leur montrera que Mahomet, leur noble Prophète, ne comprenait ce livre sacré de l’islam que d’une manière littéraliste. Il suffit de rappeler les paroles et les actes du Prophète de l’islam.

Mahomet affirmait avec fierté :

« Par celui qui détient mon âme entre ses mains ! Je ne suis venu à vous qu’avec l’égorgement ! Et il a fait le signe de la main sous la gorge. » (Sirat d’Ibn Ishaq, Ibn Hisham)  

Mahomet, à travers ses paroles (Hadiths) explique la manière dont il faut interpréter les versets du Coran qui ordonnent la violence, la haine et le terrorisme :

« Allah m’a accordé la victoire par la terreur que j’inspire à une distance d’un mois de marche. Allah m’a donné les clés des trésors de la Terre et les a mis entre mes mains. » (Sahih Al Boukhari : Livre du Jihad, Hadith numéro 122)

« (Dans le Coran qu’Allah m’a révélé) Il m'a été ordonné de combattre les gens jusqu'à ce qu'ils déclarent qu'il n'y a d'autres divinités qu'Allah et que Muhammad est Son Messager, qu'ils accomplissent la prière et s'acquittent de la Zakât (aumône obligatoire). S'ils s'y conforment (en se convertissant à l’islam), ils préserveront de moi leur vie et leurs biens... » (Sahih Boukhari : Livre de la foi, Hadith numéro 17)

Mahomet ne laissait à ceux qu’il considérait comme mécréants, que le choix entre l’islam ou la mort. Et l’islam enseigne à tous les musulmans que ce même Mahomet représente l’excellent modèle que tout musulman se doit d’imiter :

(S33, V21) : « En effet vous avez dans le Prophète (Mahomet) un excellent modèle, pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment. »

 

 

Ce qui n’empêche pas les organisations musulmanes et leurs soutiens en Suisse, de marteler sans cesse ce déni de vérité : l’islam n’a rien à voir avec le terrorisme et le meurtre. Quand on leur demande de dénoncer les versets et les Hadiths qui ordonnent explicitement le terrorisme et le meurtre, ils affirment que cette demande n’a aucun sens. On ne touche pas au texte sacré de l’islam !

Avec un cynisme sans borne, ils ne veulent ni assumer ces versets et ces Hadiths, ni les condamner. Ils refusent tout débat ou toute forme de dialogue sur ces préceptes qui figurent pourtant dans les textes fondateurs de l’islam. 

Pour toutes ces représentants de l’islam et les sommités « antiracistes » qui les soutiennent, le dialogue n’est concevable qu’avec les personnes qui défendent l’islam et pratiquent les mêmes dénis de vérité.

Quand on les confronte au racisme des préceptes coraniques, ils nient avec énergie. Et pourtant, les versets explicitement racistes sont appris, mémorisés et récités quotidiennement par des dizaines de millions d’enfants dans les mosquées et les écoles coraniques.

Dans le Coran, les chrétiens et les juifs sont décrits comme les pires créatures :

(S98, V6) : « Les infidèles parmi les chrétiens et les juifs qui ont reçu les Écritures (Torah, Psaumes et Évangile), ainsi que ceux qui parmi eux, associent à Allah d’autres divinités (comme Jésus le Fils de Dieu et le Saint Esprit) iront au feu de l'Enfer, pour y demeurer éternellement. DE TOUTE LA CRÉATION, CE SONT EUX LES PIRES DES CRÉATURES. »

 

 

Le Coran confirme aux juifs leur sort détestable et la pire des rétributions qu’ils auront auprès d’Allah. Les juifs sont décrits comme :

(S5, V60) : « Ceux qu'Allah a maudit, ceux qui ont encouru Sa colère, et ceux dont Il a fait des singes, des cochons. Ceux-là ont la pire des places et sont les plus égarés du chemin droit ».

Le sort des chrétiens n’est guère plus enviable, puisqu’ils sont maudits pour l’éternité :

(S5, V14) : « Et de ceux qui disent : “Nous sommes chrétiens”, Allah a pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé. Allah a donc suscité entre eux l'inimitié et la haine jusqu'au Jour du Jugement Dernier. »

Le Dieu du Coran ne se contente pas de maudire les seuls juifs et chrétiens. Il va beaucoup plus loin dans sa fureur envers l’ensemble des infidèles qui refusent de se soumettre à l’islam : Allah leurs enlève toute humanité. Il les déshumanise et les considère comme inférieurs aux animaux.

Le Coran explique aux musulmans que les infidèles ne sont que souillures :

(S9, V28) : « Ô vous (musulmans) qui croyez ! (Sachez que) les associateurs (qui associent d’autres divinités au seul Allah, comme les chrétiens qui rendent un culte au Père, au Fils et au Saint Esprit) ne sont que souillure. Ils ne doivent pas s’approcher de la Mosquée sacrée. » On signalera que cette interdiction est toujours en vigueur, puisque les prescriptions coraniques sont établies pour l’éternité. Cela n’empêche pas les organisations islamiques et leurs supplétifs en Occident de continuer leur déni de vérité, en prétendant que les prescriptions cu Coran sont limitées au seul contexte historique de l’Arabie au temps de Mahomet.

Pourront, on peut lire dans le Coran qui est diffusé dans toutes nos librairies et nos bibliothèques, les mêmes versets racistes que ceux que proclamait Mahomet au VIIème siècle. Les infidèles dans leur ensemble sont qualifiés non seulement comme des animaux, mais comme les pires des animaux :

(S8, V55) : « Les pires bêtes, auprès d'Allah, sont ceux qui ont été mécréants et qui refusent toujours de croire (en Allah et en Mahomet). »

Le mécréant qui refuse de se soumettre à l’islam, est traité de chien, ce qui constitue la pire des insultes en terre d’islam :

(S7, V176-177) : « Et si Allah avait voulu, il l’aurait élevé par l’enseignement (du Coran), mais le mécréant s'inclina vers la terre et suivit sa propre passion. Il est semblable à un chien qui halète si tu l'attaques, et qui halète aussi si tu le laisses. Tel est l'exemple des gens qui traitent de mensonges Nos versets (du Coran) … Quiconque Allah guide, voilà le bien guidé. Et quiconque Il égare, voilà les perdants. »

(S7, V176-177) : « Quiconque Allah guide, voilà le bien guidé. Et quiconque Il égare, voilà les perdants. Nous avons destiné beaucoup de djinns et d'hommes pour l'Enfer. Ils ont des cœurs, mais ne comprennent pas. Ils ont des yeux, mais ne voient pas. Ils ont des oreilles, mais n'entendent pas. Ceux-là sont comme les bestiaux, même plus égarés encore. »

(S25, V44) : « Pensez-vous que la plupart des infidèles entendent ou comprennent ? Ils ne sont en vérité comparables qu'à des bestiaux. Ou plutôt, ils sont plus égarés encore du sentier. »

(S47, V12) : « Ceux qui croient et accomplissent de bonnes œuvres, Allah les fera entrer dans des Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux. Et ceux qui refusent de croire en l’islam, vivent et mangent comme mangent les bestiaux ; et le Feu sera leur lieu de séjour. »

 

Ainsi, l’islam revendique et enseigne le racisme. Des dizaines de millions d’enfants apprennent, mémorisent et récitent quotidiennement ces versets remplis de haine envers les êtres humains qui refusent la soumission à Allah et à son Prophète, Mahomet.

Au colloque organisé à Fribourg et soutenu par la Commission Fédérale contre le racisme, les organisations islamiques et les Universités suisses, quelques rares auditeurs ont signalé ce racisme enseigné par l’islam. Mais ils n’ont reçu que le silence pour seul réponse. Aucune condamnation de ce racisme instauré par l’islam.

On fronce les sourcils contre toute demande insensée et on lui reproche de porter préjudice aux musulmans en exigeant d’eux qu’ils modifient la « Parole incréée, éternelle et intangible d’Allah » ! On corrige ces prétentieux qui auraient dû comprendre d’eux-mêmes cette explication lumineuse : « Si Allah qualifie les mécréants de souillure, des bestiaux égarés et de pires créatures, Il sait de quoi Il parle. Après tout, ces mécréants ne sont que ses propres créatures. C’est Lui, Allah, le tout puissant, qui les a créés, qui les a égarés et qui les a destinés à la malédiction éternelle. Les musulmans n’ont aucune responsabilité. Ils ne font qu’annoncer et enseigner la « Parole éternelle d’Allah ». Comment ose-t-on leurs demander de changer cette Parole ? »  

En conséquence, il n’y eut dans ce colloque, aucun responsable musulman ni aucun « universitaire chercheur scientifique » qui reconnaissait les prescriptions racistes et discriminatoires qui figurent noir sur blanc dans le Coran, la Sunna de Mahomet et qui sont institutionnalisées dans les législations officielles des pays musulmans. Il suffit de voir les discriminations qui frappent les apostats, les minorités religieuses, les femmes ou les enfants adoptifs en terre d’’islam :

·      

La femme n’est pas considérée comme un être humain à part entière, mais comme une calamité et une tentation au mal : http://ripostelaique.com/a-ceux-qui-osent-dire-que-le-coran-nimpose-pas-le-voile-et-le-burkini.html

·       L’enseignement de la haine (vidéo) :  http://ripostelaique.com/islam-enseignement-de-haine.html

·       Incitation à la violence dans l’enseignement coranique (vidéo) : http://ripostelaique.com/decodex-lislam-apprend-aux-enfants-lamour-et-la-paix.html

·       Le mariage de Mahomet avec Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd : http://ripostelaique.com/le-mariage-de-mahomet-avec-zaynab-la-femme-de-son-fils-adoptif-zayd-est-authentique.html

 

Dans ce colloque de la honte, le refus de toute forme de condamnation ou de remise en cause de l’islam, va encore plus loin. Les organisations musulmanes, comme les universités, le centre Suisse, islam et société de l’université de Fribourg, ou la Commission Fédérale contre le racisme, refusent en bloc toute forme de dialogue ou de débat. Ils refusent même d’entrer en matière. Comme seule réponse, ceux qui osaient poser ces questions sur le racisme et les discriminations dans l’islam, n’ont eu droit qu’à un silence méprisant. Ce mépris envers ceux qui osent poser les questions est dans l’ordre des choses dans cette sphère de la dhimitude assumée et du politiquement correct. Ce qui rend ce mépris abject, c’est qu’il concerne surtout les millions de victimes. Ce mépris des victimes du préceptes racistes et discriminatoires de l’islam, relève de l’infâmie. Il constitue la forme la plus abjecte du racisme chez ceux qui font une dénonciation sélective du racisme: la discrimination envers les victimes, en fonction de la nature de leurs bourreaux. Quand ces bourreaux s’appellent Allah et Mahomet, alors les victimes ne méritent que le mépris des autorités politiques, des universitaires et des associations musulmanes. Ils se mettent ensemble pour imposer le silence et élever un mur infranchissable devant toute forme de dénonciation de l’islam, en tant qu’idéologie totalitaire.

Chers lecteurs, au nom de ces millions de victimes, élevons notre voix pour briser ce mur d’infâmie.

 

 

 

La Suisse et l’islam : le débat verrouillé.

En Suisse, il existe deux institutions officielles qui occupent une position déterminante dans le débat sur l’islam. Il s’agit en premier lieu du Centre Suisse, islam et société, de l’Université de Fribourg. Ce centre dont la création a été justifiée par la lutte contre le radicalisme islamique et la « formation des imams », travaille en collaboration étroite avec la Commission Fédérale contre le Racisme, présidé par Madame Martine Brunschwig Graf. Officiellement, ces institutions sont chargées de lutter le radicalisme islamique et la prétendue « interprétation extrémiste du Coran », qui mènent au Djihad et au terrorisme. Elles sont également chargées de la lutte contre les discriminations et le racisme sous toute ses formes, quels qu’en soit l’auteur.Malheureusement, les conférences auxquelles nous avons assisté et la documentation qui est produites par ces institutions, ne nous apparaissent pas conformes aux buts affichés. En ce qui concerne le racisme, ces institutions font une dénonciation à sens unique. On constate un grand silence sur les discriminations à caractère racistes qui ont été instaurées par le Coran et qui sont institutionalisées dans les législations officielles des pays musulmans. Il n’y a pas de remise en cause des préceptes racistes du Coran et de la Sunna de Mahomet. Ces institutions ne dénoncent que « le discours islamophobe », mais pas une parole sur la christianophobie et l’antisémitisme dans l’islam.

Ces dernières années, les attentats terroristes ont frappé les pays européens. Face au terrorisme islamiste, nos peuples restent sidérés par cette violence qui frappe d’une manière aveugle des innocents, y compris des femmes et des enfants.  Dans ce contexte très sensible du terrorisme qui frappé nos pays, le Centre Suisse, islam et société de l’Université de Fribourg et la Commission Fédérale contre le Racisme (CFR) semble privilégier la culpabilisation du peuple suisse pour son hostilité envers l’islam et les musulmans.On citera le Colloque organisé à l’Université de Fribourg sur « l’hostilité envers les musulmans », ou l’émission de la Télévision suisse : « Bien intégrés et mal accepté » :https://www.rts.ch/play/tv/19h30/video/les-musulmans-en-suisse-sont-bien-integres-mais-mal-aimes?id=8910682&station=a9e7621504c6959e35c3ecbe7f6bed0446cdf8da On reproche aux suisses de soumettre les musulmans à des discriminations au seul motif de leur religion. Quand un collectif de 700 citoyens a demandé un droit de réponse sur les discriminations à connotation raciste qui sont institutionalisées dans les législations des pays musulmans, il s’est heurté à un refus total de la part de ces institutions officielles. Elles refusent de donner la parole à ceux qui dénoncent les discriminations à connotation racisme institutionalisées dans le monde musulman, sur la base des préceptes du Coran et de la Sunna de Mahomet.On précisera que ces discriminations sont mises en œuvre par les autorités consulaires des pays musulmans dans le territoire suisse et touchent des citoyens suisses à cause de leur double nationalité. Par ailleurs, ces institutions (le CSIS et la CFR) reprochent aux Suisses de rendre les musulmans responsables du terrorisme qui frappe nos pays.

L’enseignement de la violence et de la haine dans l’islam.

On prendra comme exemple, l’émission de la TSR : « bien intégrés et mal accepté ». La présidente de La Commission Fédérale contre le Racisme ainsi que le Centre Suisse, islam et société, reprochent aux suisses de faire porter aux musulmans la responsabilité du terrorisme. Ces institutions culpabilisent les suisses en les accusant d’hostilité intrinsèque envers les musulmans. En agissant ainsi, elles occultenz un problème grave qui préoccupe les citoyens suisses.Les suisses, comme l’ensemble de l’humanité, posent des questions légitimes aux musulmans. Ces questions concernent en premier lieu l’enseignement des textes sacrés de l’islam. Une simple lecture de ces textes apporte la démonstration qu’ils incitent explicitement à la haine et à la violence envers les chrétiens, les juifs ou les mécréants en général. Le Coran appelle à combattre dans le but d’imposer l’islam par la conquête des nations et la soumission des peuples à la loi d’Allah : (S8, V38) : « Combattez à mort les (mécréants) jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de dissension religieuse et que la religion appartienne entièrement à Allah ». (S2 - V191 et 217) : « La Fitna (dissension religieuse, mécréance, polythéisme) est pire que le meurtre ». Et le terrorisme fait partie intégrante des moyens utilisés pour combattre les infidèles : (S3, V151-152) : « Nous allons jeter l'effroi dans les cœurs des mécréants…Et Allah a tenu Sa promesse envers vous, quand par Sa permission vous les tuiez sans relâche… ». (S8, V12) : « Et ton Seigneur révéla aux Anges : "Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l'effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez au-dessus des cous″ (pour décapiter) … ».(S8, V60) : « Et préparez contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin de terroriser l’ennemi d’Allah et le vôtre, et d’autres encore que vous ne connaissiez pas en dehors de ceux-ci mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés. » Ainsi, le Dieu du Coran promet sa récompenser ceux qui terrorise les ennemis de l’Allah et des musulmans. Par ailleurs, le Coran enseigne que les musulmans qui s’engagent dans ce Djihad sont supérieurs aux musulmans qui refusent de participer et restent chez eux sans combattre :(S4, V95-96) : « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux (sans combattre) et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d'Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d'excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense ; et Allah a mis les combattants au-dessus des non-combattants en leur accordant une rétribution immense ; des grades de supériorité de Sa part ainsi qu'un pardon et une miséricorde. »(S49, V15) : « Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d'Allah. Ceux-là sont les véridiques. »(S9, V20-22) : « Ceux qui ont cru, qui ont émigré et qui ont lutté par leurs biens et leurs personnes dans le sentier d'Allah, ont les plus hauts rangs auprès d'Allah... et ce sont eux les victorieux. Leur Seigneur leur annonce de Sa part miséricorde et agrément, et des Jardins où il y aura pour eux un délice permanent où ils demeureront éternellement. Certes, il y a auprès d'Allah une énorme récompense. »(S3, V142) : « Comptez-vous entrer au Paradis sans qu'Allah ne distingue parmi vous ceux qui luttent et qui sont endurants ? »  Mahomet lui-même affirme qu’il utilisait le terrorisme et qu’il a reçu la victoire grâce à la terreur qu’il inspirait :
·       
Par Celui dont la main détient l'âme de Muhammad je viens à vous avec l’égorgement. 
·        Ma richesse est à l’ombre de ma lance. L’humiliation et l’abaissement sont destinées à ceux qui contredisent ma cause.
·       
La victoire m’a été accordée par la terreur que j’inspirais à une distance d’un mois de marche.

 

Tous ces textes continuent d’être enseignés, mémorisés et récités par les musulmans dès la petite enfance. Et pourtant, on refuse officiellement d’admettre que cet enseignement de la haine et de la violence, constitue la base idéologique du passage à l’acte terroriste. Les citoyens suisses ont parfaitement le droit de poser des questions sur ces appels à la haine et à la violence. On ne peut enseigner ces préceptes que Mahomet lui-même, comme ses compagnons les plus proches, ont mis en application, et condamner les terroristes qui passent à l’acte. On ne peut dissocier l’enseignement du passage à l’acte, surtout quand il s’agit d’agir comme le Prophète, qui représente pour tous les musulmans, le modèle parfait que tout croyant se doit d’imiter.Il est légitime d’attendre des associations musulmanes et aussi de nos autorités, des réponses à cette question légitime : quelles sont les raisons qui vous empêchent d’interdire l’enseignement des versets et des Hadiths qui appellent à la haine et à la violence ? Quelles sont les raisons qui expliquent le refus total des autorités musulmane d’abroger ou de frapper d’obsolescence ces versets

La méthode du deux poids deux mesures.

Toutes ces institutions (le Centre Suisse islam et société, la Commission Fédérale contre le Racisme) travaillent en partenariat avec les associations musulmanes pour pratiquer un discours d’une incohérence totale. Elles affirment avec force que le discours anti islam ou anti musulman est inacceptable, relève du racisme et entraîne la violence envers la communauté musulmane. En revanche, ces mêmes institutions soutiennent avec force que les préceptes de haine et de violence dans le Coran, n’ont aucun lien avec le terrorisme. Elle refusent la moindre condamnation du discours coranique  anti chrétiens, anti juifs et anti mécréant qui est enseigné dans les mosquées, les instituts islamiques. Ce discours de haine figure explicitement dans de nombreux versets du Coran et dans de très nombreux Hadiths de Mahomet. Il est confirmés dans l’immense majorité des textes musulmans, y compris les manuels scolaires distribués aux enfants, que ce soit dans les exégèses ou les livres qui définissent la jurisprudence et le droit musulman. Mais pour nos institutions en Suisse, ce discours de haine n’a aucun lien avec le terrorisme et la violence islamique. Elles refusent de reconnaitre un lien entre ces prescriptions coraniques qui incitent à la violence et le terrorisme qui frappent nos pays et l’ensemble de la planète. Elles refusent également de reconnaitre et de dénoncer les discriminations qui sont institutionnalisées dans les législations officielles des pays musulmans. Ces discriminations touchent des centaines de millions de personnes dont des citoyens suisses, à cause de leur double nationalité. En conséquence, les musulmans peuvent continuer d’enseigner le Coran, les Hadiths et les textes fondateurs de l’islam, sans la moindre gêne. Les cibles du discours coraniques, comme les chrétiens, les juifs ou les mécréants en général, n’ont qu’un seul droit : se taire et garder le silence. Et ceux qui osent dénoncer la haine et la violence enseignées dans l’islam, sont accusés d’hostilité envers les musulmans, d’islamophobie et de racisme.  

La presse suisse stigmatiserait la communauté musulmane.

 

Concernant la presse, la situation en Suisse, pays de la liberté d’expression et des Droits de l’Homme, commence à prendre une tournure qui questionne le citoyen. Le 3 septembre 2018, la Commission Fédérale contre le Racisme nous apprend que qu’entre 2009 et 2017, les articles créant de la distance par rapport aux musulmans sont passés de 22% à 69%. On peut voir l’article du Matin de Lausanne intitulé : « les médias stigmatisent les musulmans de Suisse » : https://www.lematin.ch/suisse/Les-medias-stigmatisent-les-musulmans-de-Suisse/story/14646576 La Commission Fédérale contre le Racisme nous informe qu’une étude mené à l’Université de Zurich aboutit à cette conclusion : « La distance est principalement due aux thèmes abordés. Quelque 54% d'entre eux touchent à la radicalisation et au terrorisme, alors que seul un infime pourcentage porte sur l'intégration réussie (2%) et le quotidien des musulmans (2%), soit la vie de la majorité des musulmans de Suisse. »En conséquence, la Commission Fédérale contre le racisme « entend poursuivre le dialogue avec les journalistes et leur rappeler leur responsabilité dans la formation de l'opinion publique. »L’immense majorité des citoyens suisses avaient la certitude que la liberté de la presse constituait un des fondements de la démocratie. Mais cette intervention de la Commission Fédérale contre le Racisme, semble remettre en cause cette certitude. Elle laisse un sentiment de malaise et d’incompréhension. On a l’impression d’assister à une forme de surveillance ou de pression sur la presse, alors qu’on pensait que cette presse bénéficiait d’une totale liberté, tant qu’elle respectait la loi : pas de diffamation, pas d’incitation à la haine, à la violence ou à la désobéissance aux lois.

On ne savait pas que la presse état soumise à des règles en ce qui concerne son libre choix des informations qu’elles présentaient au public. La Commission Fédéral contre le Racisme affirme que le choix qu’a fait la presse suisse « crée une distance envers les musulmans ». Et cette commission souligne la responsabilité de la presse dans « la formation de l’opinion publique ». On comprend le malaise créé par ces propos chez le citoyen qui pensait que la presse était chargée de l’informer d’’une manière objective, et non de former son opinion. Dans les pays démocratiques, on respecte le citoyen qui a le droit inaliénable de se former sa propre opinion, en toute liberté. Il n’incombe pas à la presse de « former » cette opinion. Il lui suffit de donner des informations objectives et de respecter la vérité des informations qu’elle rapporte.Nous ignorons ce que l’avenir nous réserve. Mais notre questionnement ne cesse de croitre et risque de se transformé en crainte pour notre avenir et celui de nos enfants.