L'invasion
islamique de l'Inde :
Le
plus grand génocide de l'histoire
Aymerich Michel
2 octobre 2017
Source :
Il me semble important de considérer cet
article comme une contribution à la nécessité de connaître une histoire très
massivement méconnue. Celle de la colonisation de l'Inde, non par les
Britanniques, mais par les musulmans. Colonisation islamique qui fut un
désastre sociétal sans nom et une saignée humaine dont l'imagination peine à en
restituer durée, intensité et portée historique. Il est vrai que notre
inconscient culturel est lourdement imprégné, presque structuré de manière à ne
concevoir que les seuls britanniques dans le rôle de colons en Inde. Ce qu'ils
furent assurément. Mais qu'ils le furent et que cela soit assurément éminemment
condamnable n'absout en rien la colonisation musulmane génocidaire. Bien au
contraire ! Car les raisons qui font condamner la colonisation britannique
se trouvent démultipliées lorsqu'on envisage la colonisation musulmane,
autrement plus désastreuse par son ampleur et ses conséquences négatives
jusqu'à aujourd'hui.
Une colonisation musulmane qui laisse un
héritage menaçant la paix mondiale et même le devenir de l'humanité. La
fondation de la République islamique du Pakistan (en ourdou, Pākistān veut dire « pays des purs », pâk signifiant « pur » et stân
signifiant « pays », avec un i de liaison. Il y a les « purs »
et les « impurs » que sont les non-musulmans !!!) issue de la
partition sanglante [2] de l'Inde à l'occasion de l'obtention de son indépendance
les 14 et 15 août 1947 est l'une des manifestations des conquêtes musulmanes au
XXème siècle, lourde de dangers. «Il suffirait d’une guerre atomique entre deux
puissances nucléaires parmi les plus faibles, tels l’Inde et le Pakistan – qui
réunissent toutefois, à eux deux, bien plus d’une centaine d’armes de ce genre
– pour que l’espèce humaine disparaisse» écrivait Fidel Castro le 23 août 2010
[1].
Première carte : L'Empire britannique des
Indes dans l'édition de 1909 du Imperial Gazetteer of
India. Les zones gouvernées directement par les
Britanniques sont en rose ; les États princiers sous suzeraineté britannique
sont en jaune.
Il demeure une méconnaissance profonde et une
ignorance de maints moments constitutifs plus dramatiques les uns que les
autres qui jalonnent l'histoire de l'Inde envahie et illustrent les méfaits
innombrables de la colonisation islamique.
Ainsi qui connaît l'étymologie donnée
par Ibn Battûta de ces deux
mots Hindou-Kouch? Pas Aymeric Caron face à Véronique
Genest [3], semble-t-il, si l'on se remémore sa tentative orientée de
démontage des positions défendues par cette dernière lors de l'émission de ONPC
(On n'est pas couché) du 9 mars 2013 [4].
Ibn Battûta, qui
traverse la région vers 1333, signale qu'« il y a au milieu de la route
une montagne nommée Hindou-Kouch, c'est-à-dire qui tue les Hindous, parce que
beaucoup d'entre les esclaves mâles et femelles que l'on emmène de l'Inde
meurent dans cette montagne à cause de la violence du froid et de la quantité
de la neige » [5].
Notes :
[1] Fidel Castro, L’Hiver nucléaire:
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2010/09/04/2206478_l-hiver-nucleaire.html
[2] «Immédiatement, dans l'affolement, la
plupart des hindous et sikhs du nouveau Pakistan plient bagage et rejoignent
vaille que vaille l'Union indienne ; ils sont imités en sens inverse par de
nombreux musulmans. De 1947 à 1950, dix à quinze millions de personnes se
croisent ainsi par-dessus les frontières des deux nouveaux États, occasionnant
au passage d'innombrables incidents meurtriers.
Dans les villages où cohabitent les communautés
(hindous, musulmans, sikhs) ont lieu des scènes d'épouvante, pires qu'en Europe
pendant la Seconde Guerre mondiale, aux dires de témoins britanniques :
massacres à l'arme blanche, viols, mutilations... On compte 400 000 à un
million de morts rien que dans l'été 1947.»
Source : https://www.herodote.net/15_aout_1947-evenement-19470815.php
[3] https://www.youtube.com/watch?v=UTtjt9zxSME
[4] https://www.causeur.fr/veronique-genest-israel-21745
[5] Voyages d'Ibn Batoutah,
traduction par M. Defrémery, Paris, Thunot, 1848, vol. I, p. 156.
Michel AYMERICH
L'invasion
islamique de l'Inde :
Le plus grand génocide de l'histoire
L’historien musulman Firishta
[de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah,
(1560-1620) auteur de Tarikh-i Firishta
et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une
idée du bain de sang médiéval que subit l'Inde durant la loi islamique. Il
estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion
et l’occupation islamique de l’Inde.
Les survivants étaient réduits en esclavage et
les mâles castrés. La population Indienne était initialement estimée à près de
600 millions d’individus. Vers le milieu du XVe siècle, elle était tombée à 200
millions.
À l’époque où les anglais arrivèrent sur les
côtes Indiennes et après des siècles de loi islamique, sa population ne se
comportait plus conformément à son identité d’origine. Elle était devenue
musulmane. Les archives anglaises relatent de nombreux témoignages sur les
horribles incidents qui choquèrent les anglais (à leur arrivée en Inde NDLT)
par leur cruauté et ils qualifiaient de “sauvages” ce peuple en évoquant leur
cruauté. Quiconque est contaminé et associé à la culture islamique devient en
effet un sauvage. Voilà exactement pourquoi cela est dangereux et dégradant.
Aujourd’hui comme les autres cultures
spirituelles qui eurent à subir les massacres de l’islam, l’Inde n’est plus
authentiquement une nation hindoue. L’Inde est une ombre de l’Islam, une
version Hindouisée de l’islam où chaque atrocité commise a été émulée et
adoptée dans une culture qui auparavant en était dépourvue. L’incorporation à
l’Inde de cette peste Mahométane étrangère, de ces habitudes islamiques
importées sont aujourd’hui acceptées comme des caractéristiques naturelles de
la culture Indienne. Mais si nous regardons la période pré-islamique
de l’Inde, nous nous rendons compte que la culture de l’Inde est à l’origine
une culture plutôt douce, centrée sur le savoir et l’apprentissage bien
davantage qu’aujourd’hui.
De l’époque de Umayyad
Dynasty (711AD) jusqu’à celle du dernier Mughal, Bahadur Shah Zafar (1858)
si hautement loués comme un grand dirigeant par les historiens Indiens
eux-mêmes, des villes entières furent rasées et leurs populations massacrées,
des centaines de milliers d’individus massacrés durant chaque campagne et un
nombre similaire déporté comme esclaves. Chaque nouveau conquérant érigeait,
souvent littéralement, des montagnes de crânes d’Hindous. Ainsi la conquête de
l’Afghanistan dans les années 1000 fut suivie par l’anéantissement de toute sa
population Hindoue. La région est toujours appelée aujourd’hui l’Hindou Kouch,
le massacre des Hindous.
L’empire Moghol
Le génocide enduré par les Hindous et les Sikhs
aux mains des Arabes, des Turcs, des Mohgols et des
forces musulmanes d’occupation de l’Afghanistan dura 800 ans. Il est toujours,
à ce jour, largement méconnu par le monde.
Le seul génocide analogue d’un passé récent fut
celui du peuple juif aux mains des Nazis (NdT ou celui des Arméniens aux mains
des Turcs).
L’holocauste des Hindous d’Inde fut autrement
plus important en proportion. Sa différence principale tient au fait qu’il se
déroula sur une période de 800 ans sans discontinuer, jusqu’à ce que ce régime
brutal fut effectivement renversé dans une lutte à
mort par les Sikhs dans le Punjab et par les armées Hindou Maratha
dans les autres parties du sous-continent indien dans les années 1700.
Nous avons réunis des preuves littéraires du
plus important holocauste mondial sous la forme de récits provenant de témoins
oculaires contemporains de cette époque. Les historiens et les biographes de
ces armées d’invasion et de leurs dirigeants ont laissé des récits détaillés
des atrocités qu’ils commettaient durant leur avancée vers l’Inde.
Paintings by Edwin Lord Weeks.
Ces documents historiques d’époque vantent et
glorifient les crimes commis et relatent le génocide de dizaines de millions
d’Hindous, les viols de masse des femmes, la destruction de milliers de temples
Hindouistes ou Bouddhistes ainsi que de bibliothèques avec force détails
apportent une preuve solide de la véracité de ce qui peut être considéré comme
le plus grand génocide de tous les temps.
Dr.Koenraad Elst déclare ainsi
dans son article Y a-t-il eu un génocide islamique des Hindous :
«Il n’y a pas d’estimations officielle du
nombre total de victimes Hindous aux mains des musulmans. Au premier abord, à
la vue des importants témoignages des chroniqueurs musulmans de l’époque au
cours de 13 siècles et sur un territoire aussi vaste que le sous-continent
indien, la guerre sainte tua facilement plus de 6 millions d’Hindous. Ferishtha lista de nombreuses occasions où le sultan
Bahmani en Inde centrale (1347-1528) tua une centaine de milliers d’Hindous. Ce
qui est considéré comme une sorte de barème punitif minimum. Et ce sultan
n’était qu’un dirigeant provincial de troisième rang dans l’ordre dynastique.
Les plus grands massacres eurent lieu durant
les raids de Mahmud Ghaznavi (ca. 1000 CE) au cours
de la conquête du Nord de l’Inde, par Mohammed Ghori
et ses lieutenants, jusqu’en 1192, et durant le sultanat de Delhi
(1206-1526). »
Il écrit également dans son livre Négation
de l’Inde :
«Les conquêtes musulmanes jusqu’au 16e
siècle furent pour les Hindous une lutte de pure survie, une question de vie ou
de mort. Des villes entières furent réduites en cendres et leur population
massacrée faisant des centaines de milliers de morts durant chaque campagne, et
un nombre similaire de déportés comme esclaves. Chaque nouvel envahisseur
faisait sa montagnes de crânes.
Ainsi la conquête de l’Afghanistan dans les
années 1000 fut suivie par l’anéantissement de la population Hindou, la région
est ainsi appelée Hindu Kush
le massacre Hindou.»
Will Durant écrit dans son livre de
1935 : L’histoire de la Civilisation – Notre héritage
oriental (Page 459) :
«La conquête de l’Inde par les Mahométans est
probablement l’ histoire la plus sanglante de toute l’histoire. Les historiens
islamiques, les érudits, ont écrit avec la plus grande joie et fierté le
massacre des Hindous, les conversions forcées, l’enlèvement des femmes et des
enfants vers les marchés d’esclaves ainsi que la destruction des temple menés par
les guerriers de l’islam entre les années 800 et 1700 après J.-C. Des millions
d’Hindous furent convertis à l’islam par l’épée durant cette période.»
François Gautier dans son livre Réécrire
l’histoire indienne (1996) écrit :
«Les massacres perpétrés par les musulmans sont
sans parallèle dans l’histoire. Plus important que l’holocauste des juifs par
les nazis ou le massacre des Arméniens par les turcs. Plus étendus encore que
le massacre des populations sud-américaines par les envahisseurs Espagnols et Portugais.»
Fernand Braudel dans l’histoire des
civilisations (1995) décrit la loi islamique en Inde comme
une : «expérience coloniale d’une extrême violence durant laquelle
les musulmans ne pouvaient diriger ce pays que par l’exercice d’une terreur
systématique. La cruauté était la norme, les crémations, les exécutions
sommaires, les crucifixions ou empalements, les tortures inventives … Les
temples Hindous furent détruits et remplacés par des mosquées. Il y eut des
conversions forcées à l’occasion. Si jamais une révolte éclatait, elle était
instantanément et sauvagement réprimée, les maisons étaient brûlées les
campagnes dévastées, les hommes massacrés, les femmes et enfants réduits en
esclavage.»
Dans son livre Histoire de
l’Inde Alain Danielou écrit :
«De l’époque où les musulmans commencèrent leur
conquête vers 632, l’histoire de l’Inde devint une longue et monotone série de
meurtres de massacres, de spoliations et de destructions. C’était comme
toujours au nom de la Guerre Sainte et de leur foi en un Dieu unique que les
barbares détruisirent des civilisations et anéantirent des races entières.»
Irfan Husain
dans son article Les démons du passé observe :
«Alors que les événements historiques doivent
être jugés dans le contexte de leur temps, il ne peut être contesté que même
dans cette période historique sanglante, aucune pitié ne fut montrée aux
Hindous suffisamment malchanceux pour se trouver sur le chemin des conquérants
arabes du Sindh et sud Punjab ou d’Asie centrale qui
déferlèrent d’Afghanistan. Les héros musulmans qui figurent plus grand que
nature dans nos livres d’histoire commirent des crimes monstrueux. Mahmud de
Ghazni, Qutb-ud-Din Aibak, Balban, Mohammed bin Qasim, et Sultan Mohammad Tughlak, tous ont les mains tachées d’un sang que le passage
des années n’a jamais pu nettoyer; d’un point de vue Hindou, l’invasion
musulmane de leur territoire est un désastre sans pareil.»
«Leurs temples furent rasés, leur idoles
brisées, leurs femmes violées, leurs hommes massacrés ou réduits en esclavage
lorsque Mahmud de Ghazni entra dans Somnath, Durant
l’un de ses raids annuels, il en massacra les 50 000 habitants. Aibak en tua et réduisit en esclavage des centaines de
milliers. La liste des horreurs est longue et douloureuse, ces conquérants
justifiaient toujours leurs méfaits sur la base de leurs devoirs religieux qui
était de frapper les non croyants. Drapés dans la bannière de l’islam, ils
proclamaient qu’ils se battaient pour leur foi alors que en réalité, ils
s’adonnaient complaisamment à leur passion du massacre et du pillage...»
Voici un échantillon de témoignages et de
récits de témoins contemporains de l’invasion et de l’exercice du pouvoir des
conquérants durant la conquête indienne.
Le despote Afghan Mahmud al-Ghazni envahit
l’Inde pas moins de 17 fois entre 1001 et 1026. Le livre ‘Tarikh-i-Yamini’ écrit par son secrétaire documente de nombreux
épisodes de ses campagnes militaires sanglantes.
«Le sang des infidèles coulaient si
copieusement dans la vie de Thanesar que le fleuve
était décoloré, nonobstant sa pureté, et que les gens ne pouvaient plus en
boire l’eau. Les infidèles désertèrent le fort et tentèrent de traverser la
rivière fumante mais beaucoup furent massacrés pris ou noyés, près de 50 000
d’entre eux furent tués.»
Dans un témoignage contemporain Taj-ul-Ma’asir’ par Hassn Nizam-i-Naishapuri, il est
dit que lorsque Qutb-ul- Din Aibak
(d’origine Turco-Afghane et qui fut le premier Sultan de Delhi, 1194-1210 AD)
conquit Meerat, il en détruisit tous les temples
hindous de la ville et érigea des mosquées à leur place. Dans la ville de Aligarth, il convertit par l’épée les habitants Hindous de
la ville à l’islam et décapita tous ceux qui refusèrent de s’y soumettre.
L’historien Persan Wassaf
écrit dans son livre ‘Tazjiyat-ul-Amsar wa Tajriyat ul
Asar” que lorsque le Alaul-Din
Khilji (Un Afghan d’origine Turque et second commandeur de la dynastie Indienne
de Khilji, 1295-1316 AD) captura la ville de Kambayat
au commencement du golf de Cambay, il tua tous les adultes Hindous mâles pour la
gloire de l’islam, déversa des rivières de sang, déporta toutes les femmes du
pays avec leur or, leur argent et leurs bijoux vers sa ville natale et fit de
20 000 filles indiennes ses esclaves privées.
L’Inde a une riche et longue histoire
culturelle. L’Hindouisme débuta autour de 1500 avant J.C. et le Bouddhisme
autour du sixième siècle avant J.C. Cette culture a porté des achèvements
artistiques religieux et intellectuels très impressionnants. Avant et
après les premiers jours de l’islam, les érudit Indiens avaient apporté leur
science à la cour des autres empires (y compris à celle de Bagdad) le zéro,
l’algèbre, la géométrie, le système décimal, la soi-disant “numérotation arabe”
sont en réalité des inventions Indiennes.
Les érudits indiens enseignaient dans les
universités Indiennes, les enfants, garçons et filles étaient élevés dans un
système d’éducation largement développé sur des sujets aussi variés que la
science, la philosophie, la médecine. L’art et l’architecture indienne était
magnifiques et florissants, ils formaient un peuple prospère. Puis vint
l’Islam, les massacres, l’esclavage, les viols, la violence, les pillages, la
destruction des sites religieux, de l’art, de l’architecture, la pauvreté,
l’exploitation, l’humiliation, la famine, les conversions forcées, le déclin de
la recherche intellectuelle, les destructions sociales et une aggravation
générale des conditions de vie.
Pour l’islam tout ce qui n’est pas musulman
provient d’un temps d’ignorance, “Jahiliyya”, et doit
être détruit et rebaptisé “Islamique”. Ces massacres créèrent les bandes
nomades de Gitans, ils détruisirent l’Afghanistan Hindou et formèrent ce qui
est aujourd’hui le Pakistan, le Cachemire et le Bangladesh.
Le coût de ces invasions musulmanes est
considérable en vies humaines, en prospérité et en culture. Des estimations
suggèrent que les conquêtes et la domination musulmane en Inde fit entre 60 et
80 millions de morts dans la seule période allant de l’an 1000 à l’an 1525. (Lal cité dans Khan p. 216)
Vous pensez ce chiffre impossible ? Dans la
guerre d’indépendance du Bangladesh en 1971, l’armée pakistanaise tua entre 1,5
et 3 millions de personnes (principalement des musulmans) en seulement neuf
mois (Khan p. 216)
Le reste du monde détourna à la tête, mais
n’est-ce pas toujours le cas lorsque ce sont de musulmans qui commettent les
violences ?
Le nombre d’Hindous brutalement assassinés par
les musulmans est estimé à 400 millions et non à 60-80 millions selon Firishta (1560-1620) auteur de Tarikh-i
Firishta et du Gulshan-i
Ibrahim.