L'invasion
islamique de l'Inde :
Le
plus grand génocide de l'histoire
http://lislampourlesnuls.blogspot.com/2018/02/linvasion-islamique-de-linde-le-plus.html
Certains historiens estiment qu’entre 1000 et 1515,
environ 80 millions d’hindous ont été massacrés lors de la colonisation
musulmane. Il pourrait s’agir du plus grand génocide de l’Histoire. Nous vous
proposons un long article sur ce sujet, un sujet difficile à traiter car nous
ne voulons pas tomber dans l’anti-islamisme primaire. Mais il semble en effet
que ces massacres ont été très importants. Par ailleurs, pour différentes
raisons, ce génocide est tu en Inde et ce passé est occulté, et c’est là une
grande source d’interrogation.
http://www.indiablognote.com/article-le-genocide-tu-1-4-45939447.html
Les envahisseurs musulmans commencèrent leurs
incursions au début du 8ème siècle, sous le règne de Hajjaj,
le gouverneur de l'actuel Irak.
En 712, sous le commandement de Mohammed Kasim,
les auteurs des raids démolirent les temples, brisèrent les sculptures,
pillèrent les palais, tuèrent un nombre incalculable d'hommes – le massacre des
habitants de Debal se prolongea pendant trois jours –
et emmenèrent les femmes et les enfants en esclavage.
Après la vague de violence initiale, Kasim tenta toutefois de rétablir la loi
et l'ordre sur ces terres nouvellement conquises, et à cette fin, il autorisa
même un certain degré de tolérance religieuse. Mais quand Hajjaj,
son maître, entendit parler de ces usages pleins d'humanité, il objecta :
« Il apparaît dans votre lettre que l'ensemble des règles que vous avez
promulguées pour le confort et le bien-être de vos hommes est en parfait accord
avec la loi religieuse. Mais la manière d'accorder le pardon prescrite par la
loi est différente de celle que vous avez adoptée, puisque vous accordez votre
pardon à chacun, riche ou pauvre, sans faire aucune distinction entre ami et
ennemi. Le Grand Dieu dit dans le Coran [47.4] : “O Vrais Croyants, quand vous
rencontrez des incroyants, coupez-leur la tête.” Ce commandement du Grand Dieu
est un commandement supérieur et doit être respecté et suivi. Vous ne devez pas
être trop indulgent et montrer de la pitié, ceci pourrait anéantir la portée de
l'acte. Désormais, n'accordez de pardon à aucun ennemi et n'en épargnez aucun,
car si vous le faites, tous vous considéreront comme un homme à l'âme faible. »
Dans une communication ultérieure, Hajjaj répéta que tout homme valide devait être tué, et que
les fils et filles en bas âge devaient être emprisonnés et retenus en otages.
Kasim obéit, et en arrivant à la ville de Brahminabad,
il massacra entre 6 000 et 16 000 hommes.
Les exploits de Kasim le précurseur se
poursuivirent au début du 11ème siècle, quand Mahmoud de Ghazni « traversa
l'Inde comme une tornade, détruisant, pillant et massacrant », appliquant
avec zèle l'injonction coranique qui demande la mort des idolâtres qu'il avait
juré de châtier chaque jour de sa vie.
Au cours des dix-sept vagues successives de
cette invasion, du propre aveu de l'érudit Alberuni
que Mahmoud avait emmené en Inde, « Mahmoud ruina complètement la
prospérité du pays, et accomplit de merveilleux exploits, dignes de figurer
dans la mémoire du peuple, telle une ancienne légende, réduisant les hindous en
atomes de poussière éparpillés dans toutes les directions. Les restes dispersés
[de cette population] nourrirent de ce fait, une aversion invétérée à
l'encontre des musulmans. »
Une estimation universitaire évalue que du XIe
au XVIe siècles, de l'an 1000 à l'an 1525, 80 millions d'Hindous
auraient été tués par la répression musulmane sans parler des famines et autres
calamités naturelles engendrées par la guerre.
En l'an 1000 la conquête islamique de
l'Afghanistan fut suivie par la destruction de toute la population hindoue de
cette région. Le nom "Hindu Kush"
signifie aujourd'hui encore le massacre des hindous.
Les sultans turcs Bahmani, qui régnèrent sur le
Deccan de 1347 à 1425, avaient fixé un quota annuel de 100 000
hindous.
En l'an 1399, le turco-mongol Tamerlan aurait
fait mettre à mort de sang-froid en une seule journée 100 000 Hindous
prisonniers lors de la prise de Delhi. Les têtes des victimes s'entassaient en
énormes pyramides. Après quoi, un certain nombre d'Hindous embrassèrent
l'islam pour échapper à la mort.
Le fait qu'une disposition à la culture et une
sensibilité développée puissent aller de pair avec la bigoterie et la cruauté
trouva son illustration avec Firuz Shah, qui gouverna
le Nord de l'Inde à partir de 1351. Ce chef musulman tyrannique, bien
qu'éduqué, surprit un jour une célébration hindoue dans un village, et ordonna
que toutes les personnes présentes soient exécutées. Il raconta fièrement
qu'après avoir perpétré le massacre, il détruisit les temples et fit ériger des
mosquées à leur place.
L'empereur Moghol Akbar a laissé le souvenir
d'un monarque tolérant, du moins selon les standards musulmans en Inde : au
cours de son long règne (1542-1605), on ne peut porter à son actif qu'un seul
massacre, quand, le 24 février 1568, il ordonna la mise à mort de près de 30
000 prisonniers rajpoutes après la bataille de Chitod.
Mais si Akbar accepta les autres religions et toléra la célébration publique de
leurs cultes, s'il abolit l'impôt sur les non-musulmans, son intérêt pour les
croyances différentes ne reflétait pas un quelconque esprit de tolérance
musulman. Bien au contraire, cette attitude indiquait une propension à la
libre-pensée dans le domaine religieux qui l'amena finalement à une apostasie
complète. Ses plus hautes actions consistèrent en une déclaration formelle de
son infaillibilité en matière religieuse, sa promulgation d'un nouveau credo et
son adoption des fêtes et pratiques hindoues et zoroastriennes. C'est un modèle
dans l'histoire musulmane que l'on ressasse encore et toujours, y compris à
l'heure actuelle : pour peu que l'on découvre un musulman raisonnable, éclairé
et tolérant, un examen plus minutieux laisse apparaître qu'il s'agit de
quelqu'un qui a commencé par être musulman, et qui progressivement s'est
éloigné de l'orthodoxie de cette foi.
Le dernier des grands empereurs moghols,
Aurangzeb (1618 – 1707) fut intransigeant sur l’islam et est responsable de
beaucoup de destructions de temples hindous. Les chroniques de l’époque
rapportent que :"Aurangzeb ordonna à tous les gouverneurs de province
de détruire tous les temples et toutes les écoles des païens et de mettre
radicalement fin à tous les enseignements et les pratiques païennes.
Aurangzeb fit décapiter, après l’avoir torturé,
le 11 novembre 1675, le maître sikh Tegh Bahadur (9ème gourou des Sikhs) parce qu'il refusait
de se convertir.
À SUIVRE