Depuis Mahomet jusqu’à l’Etat islamique :

Quatorze siècles d’esclavage sexuel dans l’islam.

 

 

1.   Le drame des nigérianes, des chrétiennes et des yazidies réduites à l’esclavage sexuel.

 

Marché des esclaves de l’Etat Islamique : une fillette, enveloppée du drapeau musulman, est vendue comme esclave sexuelle.

Fillettes et femmes esclaves vendues et exposées par  Boko Haram

Pour comprendre l’esclavage sexuel dans l’islam, on commencera par rappeler que l’Etat Islamique au Levant ou Boko Haram, ne font que suivre les préceptes de l’islam et la Sunna de Mahomet. Le monde entier a été horrifié par les Nigérianes,  les Chrétiennes et les Yazidies d’Irak ou de Syrie, vendues comme esclaves sexuelles. Et les autorités musulmanes, relayées par nos médias et partis politiques, ont entamé avec unanimité ce mensonge monstrueux : cet esclavage sexuel n’a rien à voir avec l’islam. Un mensonge effroyable, qui montre à quel point nos médias et responsables politiques montrent un mépris total envers les victimes des préceptes barbares. Ces victimes de l’horreur islamique, ne représentent rien pour ces  médias et responsables politiques. Ils donnent l’impression d’avoir une seule et unique priorité : sauver à tout prix l’’islam, en  faisant porter la responsabilité sur l’islamisme radical.

 

L’esclavage, et l’esclavage sexuel en particulier, font partie intégrante de l’islam. Cet esclavagisme a duré quatorze siècles sans aucune interruption à l’exception des périodes correspondant à la colonisation franco-anglaise, et l’interdiction faite par les autorités sous la pression de l’ONU (1948 en Egypte, 1962 en Arabie).

 

Quand on connait les préceptes de l’islam, on reste interloqué par le discours des autorités musulmanes : elles condamnent l’esclavage sexuel pratiqué par les islamistes, tout en gardant un silence cynique sur ce même esclavage pratiqué par Mahomet lui-même. Avec un cynisme sans borne, ces autorités, relayées par nos médias et responsables, gardent un silence honteux sur les versets de Coran et la Sunna de Mahomet qui donnent une légitimité divine à ce crime que constitue l’esclavagisme en général et l’esclavagisme sexuel en particulier.

 

 

  

 

Femmes fuyant les terroristes de l’Etat islamique

Les autorités musulmanes savent très bien que Mahomet possédait des esclaves, était marchand d'esclaves et réduisait à l’esclavage sexuel les captives de ses razzias. Les historiens musulmans, rapportent avec exactitude cet esclavagisme de Mahomet. On doit bien constater que ceux qui ont écrit les premières biographies de Mahomet (« Sirate Rassoul Allah » d’Ibn Ishaq, Ibn Hisham, Tabarri ou « les raids et guerres du Prophète d’Allah » de Waqidi) étaient mille fois plus honnêtes que les autorités musulmanes, les médias et les responsables politiques d’aujourd’hui.

Il faut également reconnaitre que ceux qui ont compilé les Hadiths de Mahomet, aux premiers siècles de l’islam (Bukkhari,  Muslim, Abu Dawud etc…), étaient beaucoup plus honnêtes que François Hollande,, Barak Obama ou les autres responsables politiques occidentaux, qui n’hésitent pas à falsifier la vérité devant des millions de citoyens, en affirmant que les crimes et les viols des terroristes islamiques n’ont rien à voir avec l’islam !!!!

 

2.   L’esclavage sexuel fait partie intégrante de l’islam : il a été pratiqué par Mahomet lui-même.

 

Nos responsables politiques, nos intellectuels et nos médias, continuent à matraquer des contrevérités sur le prétendu islamisme, qui ne serait qu’une déformation de l’islam.

Ils saturent l’espace médiatique par ce slogan Inouïe : « l’islam est contraire à l’islamisme» ! « Il ne faut pas faire d’amalgame » ! Emportés par leur déni de la réalité, des responsables politiques au plus haut niveau, ne reculent devant aucune falsification des faits et des textes. Ils n’hésitent pas à falsifier la réalité historique en disant que Mahomet, le Coran et l’islam, n’ont rien à voir avec l’esclavage sexuel et les crimes des terroristes islamiques !

Ne reculant devant rien, ils cachent aussi bien le Coran, la vie de Mahomet ou celle de ses disciples, et l’ensemble des écrits musulmans, qui fondent l’islam.

 

Et pourtant, tous ces écrits sont unanimes : Mahomet et ses disciples, pratiquaient non seulement l’esclavage, mais bel et bien l’esclavage sexuel.

Pendant ses razzias, Mahomet capturait les femmes et les filles de ses victimes et les réduisait à l’esclavage sexuel. Il n’hésitait pas à violer ses esclaves, le jour même où  il avait tué et torturé leurs pères et leurs maris. Après s’être réservé les plus belles, Mahomet partageait les autres captives entre ses compagnons. Ces premiers musulmans pratiquaient ainsi le viol en toute légalité.

 

3.   Les esclaves sexuelles de Mahomet.

On rappellera aux politiciens et journalistes «spécialistes», que les historiens musulmans sont unanimes sur le fait que Mahomet lui-même avait au moins quatre esclaves sexuelles (Voir « Sirat Rassoul Allah » par Ibn Ishaq, Ibn Hsham. « Kitab At Tabaqat »d’Ibn Sa’d, ou les recueils de Hadiths authentiques « Sahihes » de Bukhari et Msulim) :

 

·       Maria la copte : Elle était d’une rare beauté. Elle fut offerte comme esclave, en tant que cadeau à Mahomet, par Jourayj bin Mînâ, le gouverneur d’Alexandrie. Celui-ci avait agi ainsi suite aux menaces de Mahomet. Les historiens musulmans sont unanimes sur le fait que Maria est restée esclave sexuelle jusqu’à sa mort. Et pourtant, elle a donné naissance au seul enfant mâle de Mahomet : Ibrahim. Cet enfant est mort en bas âge. Mais Maria, la mère de cet enfant, a gardé son statut d’esclave sexuelle de Mahomet jusqu’à sa mort.

 

Il est important de rappeler l’épisode de la vie de Mahomet, lié à ses rapports avec l’esclave Maria la Copte. Cet épisode est à l’origine de la sourate du Coran intitulée : « At Tahrim » (l’Interdiction). En effet, Mahomet préférait la belle esclave Maria la copte à certaines de ses épouses. La première biographie écrite par Ibn Ishaq (« Sirate Rassoul Allah ») rapporte que Mahomet a eu des rapports avec Maria dans le lit de Hafsa, qui était l’une de ses épouses. Il fut surpris ainsi par Hafsa elle-même, qui rentrait plus tôt que prévue. Furieuse, Hafsa fait une scène terrible à Mahomet et ameuté ainsi tout le harem. Hafsa était dans son droit absolu : l’incartade de Mahomet avec Maria s’étant déroulée dans son propre lit et durant la nuit qui lui était réservée.

 

À la suite de cet incident les femmes de Mahomet se sont entendues pour le priver de rapports sexuels tant qu’il ne renoncerait pas à ses belles esclaves. Mahomet promet à ses femmes qu’il s’engageait à respecter cette interdiction jusqu’au moment où il s’est décidé à mettre fin à cette situation. Il fit alors appel à Allah. Ce dernier lui révéla ces versets très déroutants :

(Sourate 66 « At Tahrim » : l’Interdiction, versets 1-5) :

«Ô Prophète ! Pourquoi, en recherchant l'agrément de tes femmes, t'interdis-tu ce qu'Allah t'a rendu licite ? Et Allah est Celui qui pardonne et le Très Miséricordieux.

Allah vous a prescrit certes, de vous libérer de vos serments. Allah est votre Maître; et c'est Lui l'Omniscient, le Sage. Lorsque le Prophète confia un secret à l'une de ses épouses et qu'elle l'eut divulgué et qu'Allah l'en eu informé, celui-ci en fit connaître une partie et passa sur une partie. Puis, quand il l'en eut informée elle dit : “Qui t'en a donné nouvelle ? ” Il dit : “C'est l'Omniscient, le Parfaitement Connaisseur qui m'en a avisé”.

Si vous vous repentez à Allah c'est que vos cœurs ont fléchi. Mais si vous vous soutenez l'une l'autre contre le Prophète, alors ses alliés seront Allah, Gabriel et les vertueux d'entre les croyants, et les Anges sont par surcroît son soutien.

S’Il vous répudie, il se peut que Seigneur lui donne en échange des épouses meilleures que vous, musulmanes, croyantes, obéissantes, repentantes, adoratrices, jeûneuses, déjà mariées ou vierges.»

 

Sur ce, Mahomet se retira avec Maria la copte et délaissa ses épouses durant tout un mois au cours duquel la menace de divorce collectif s’est maintenue, suite à quoi le front uni des épouses se disloqua et elles rentrèrent dans le rang.

 

·       Jawairiyah : elle fut capturée lors du raid contre les Bani al-Mustaliq, attaqués par surprise alors qu’ils faisaient paitre leurs troupeaux. Les hommes furent tués et leurs femmes et enfants pris comme  esclaves selon les prescriptions coraniques sur le butin. Lorsque les femmes furent distribuées aux soldats de Mahomet, Juwairiyah fut donnée à Thabit, qui la vendit à Mahomet. Ce dernier l’utilisa comme argument de pression sur la tribu de Bani al-Mustaliq : s’ils prêtaient allégeance à Mahomet et se convertissaient à l’islam, leurs femmes et filles prises comme esclaves sexuelles, seraient libérées ou considérées comme épouses légitimes de leurs ravisseurs. Ainsi, Jawhariya fut considérée comme épouse qui venait augmenter le harem de Mahomet. Mais elle ne reçut aucune dot pour son mariage : son affranchissement de l’esclavage sexuel constituait sa dot de mariée ! Pour connaitre la manière dont Jawairiyah a été capturée et réduite à l’esclavage, il faut citer l’une des sources musulmanes qui rapporte l’attaque contre les Bani al-Mustaliq :

 

Sahih Albukhari Vol.3 p.419 ; no 2541 :

 

 

 

Hadith: Sahih Muslim (Livre du mariage « Kitab al Nikah », chapitre du commandement sur le coït interrompu) :

 

Abu Sayd a dit: nous sommes allés avec l’apôtre d’Allah en Expédition contre les Banu Al Mustaliq, et nous avons pris des captives parmi les captives d'excellentes femmes Arabes, nous avons désirés ces femmes parce que l’abstinence devenait difficile à supporter mais nous voulions aussi en tirer rançon. Alors nous avons décidé d'avoir des relations sexuelles avec elles mais en pratiquant le coït interrompu (note: si une femme tombe enceinte le prix de la rançon exigible diminue). Mais nous nous dîmes: Nous faisons un acte alors que le prophète est avec nous; pourquoi ne pas lui demander?

Nous lui avons demandé, et il a dit:

« Cela n'a pas d’importance, parce que si une âme est destinée à naître, elle naîtra ».

 

http://hadith.al-islam.com/Page.aspx?pageid=192&BookID=25&TOCID=635

 

 

·       Rayhâna : cette jeune fille de 15 ans, faisait partie des prisonnières capturées lors de l’attaque et du massacre de la tribu juive de Médine : les Bani Qurayza. Lors du partage du butin, Mahomet se garda Rayhana pour lui-même. Il distribua les autres captives entre ses soldats. Au même moment, il ordonne de décapiter le mari de Rayhana et les 700 à 900 hommes de sa tribu. Mahomet proposa à Rayhana de choisir entre se convertir à l’islam et devenir son épouse, ou garder sa religion juive et rester esclave sexuelle. Les historiens musulmans rapportent que Rayhana refusa et préféra le statut d’esclave de religion juive, à celui d’épouse musulmane. Ce qui n’a pas empêché Mahomet de l’obliger à avoir des relations charnelles avec lui, jusqu’à sa mort.

 

Parmi les sources musulmanes, on citera Ibn Hisham qui rapporte dans sa biographie du prophète Mahomet (« Sirat Rassoul Allah ») :

« Le Prophète [Mahomet] recommanda à ses compagnons : Tout juif qui vous tombe sous la main, tuez-le. Le Prophète [Mahomet] ordonna de faire descendre de leurs fortins les Bani Quraydha et de les enfermer dans la maison de Bint al-Hârith. Il alla ensuite sur la place du marché de Médine et y fit creuser des fossés. Puis il fit venir les Bani Qurayza par petits groupes et leur coupa la gorge sur le bord des fossés. Ils étaient six à sept cents hommes. On dit huit cents et même neuf cents. Le Prophète (Mahomet) ne cessa de les égorger jusqu’à leur extermination totale.

Le Prophète (Mahomet) fit ensuite le partage des femmes, des enfants et des biens des Bani Qurayza [tribu juive de Médine] entre les musulmans.

Le Prophète [Mahomet] envoya dans la région de Najd (en Arabie) une partie des captives juives des Qurayza contre lesquelles il acheta des chevaux et des armes. Parmi les captives des Bani Qurayzaa, le Prophète [Mahomet] avait choisi pour lui-même (pour son plaisir) une femme appelée Rayhâna, qui resta chez lui, en sa possession, jusqu’à sa mort. »

Le massacre des juifs de la tribu des Qurayza ainsi que la réduction de leurs femmes et de leurs enfants à l’esclavage sont d’ailleurs mentionnés dans le Coran (sourate 33, v.26-27) :

« Dieu [Allah] a fait descendre de leurs forteresses ceux des gens du Livre [juifs] ralliés aux factions. Il a jeté l’effroi dans leurs cœurs. Vous avez alors tué une partie d’entre eux et vous avez réduit les autres en captivité. Il vous a donné en héritage leur pays, leurs habitations, leurs biens et une terre que vos pieds n’ont jamais foulée. »

 

 

·       Safiya : elle était une jeune mariée de 17 ans. Elle fut capturée par Mahomet quand il a envahi l’oasis de Khaybar. Mahomet a tué les hommes, dont le père et le frère de Safiya. Il a également décapité son mari Kinana, après l’avoir torturer. Ibn Ishaq rapporte à la page 515 de sa biographie de Mahomet « Sirate Rassoul Allah », la torture et le meurtre de Kinana, mari de Safiya : On fit venir, auprès de Mahomet, l’Envoyé d’Allah, Kinana Ibn al-Rabi, qui gardait le trésor de Banû al-Nadir. Mahomet (l’Envoyé d’Allah) lui demanda où était ce trésor. Kinana nia qu’il savait où il était. Un juif vint à Mahomet et lui dit : ‘J’ai vu Kinana fréquenter cette ruine tous les matins.’ Alors l’Envoyé d’Allah dit à Kinanâh : ‘Si on le trouve chez toi, es-tu conscient qu’on va te tuer ?’ Kinanâh répondit ‘oui’. Mahomet ordonna de creuser la ruine. On arriva à en extraire une partie du trésor des Juifs. Il demanda à Kinana où se trouvait le reste. Mais Kinana refusa de l’indiquer. Mahomet ordonna à al-Zubayr Ibn al-’Awwâm de le torturer jusqu’à ce qu’on extraie ce qu’il y a chez lui. Al-Zubayr se mit à faire brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinana fût sur le point de mourir. Puis Mahomet l’a livré à Muhammad b. Maslamah et celui-ci lui coupa son cou

 

Mahomet distribua les prisonnières en tant qu’esclaves sexuelles à ses combattants, et se garda la Safiya, la princesse de Banu Nadir, pour lui-même. Alors que Safiya disait : « Nul ne me paraissait plus détestable que Mahomet car il avait tué mon père et mon époux », Mahomet la viola sans attendre l’arrivée à Médine, soit une ou deux journée après la décapitation de son mari et le meurtre du reste de sa famille. Mahomet arrangea à la hâte une «cérémonie de mariage». On expliqua aux disciples de Mahomet étonnés par ce comportement : « Si Safiya prenait le voile islamique, elle sera considérée comme « épouse » de Mahomet. Sinon, elle gardera son statut d’esclave ».

 

Parmi les sources, on citera le Hadith: Sahihe Al Bukhari 64/38, 18 (Livre des raids guerriers «Kitab Al Maghazi », chapitre : l’expédition de Khaybar) :

« Le prophète (Mahomet) resta trois jours entre Khaybar et Médine pour célébrer son mariage avec Safiya. Les musulmans ayant demandé si Safiya était une des mères des croyants ou une esclave concubine, on leur répondit:

Si elle porte le voile, c’est qu’elle est mère des croyants; si elle n’en porte pas, c’est qu’elle est une esclave concubine. Si elle refuse, elle sera considérée comme esclave concubine !»

 

 

http://hadith.al-islam.com/Page.aspx?pageid=192&TOCID=2227&BookID=24&PID=3977

 

 

4.   Mépris de Mahomet pour les captives victimes de viols collectifs

 

Ce récit montre l’immense mépris de Mahomet pour les captives dont il a massacré la famille.

En fait, Allah donnait à Mahomet le droit à un nombre illimité de femmes entre épouses et captives réduites à l’esclavage sexuel.

 

 

 

5.   Le Coran légitime le  viol et esclavage sexuel.

Pour disposer des captives qu’il réduisait à l’esclaves sexuelles, Mahomet se légitimait par la parole d’Allah, révélée dans le Coran. Ce livre considéré  dans l’islam comme la Parole d’Allah, consacre  plusieurs versets pour rendre « licites et purs »  le viol des captives.  Le Coran s’adresse en premier lieu à Mahomet lui-même :

 

 

(Coran - Sourate 33: Verset 50) : «Ô Prophète !  Nous t'avons rendue licites tes épouses à qui tu as donné leur dot, ce que tu as possédé légalement parmi les captives (ou esclaves) qu'Allah t'a destinées. (Te sont également licites) les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles ; celles qui avaient émigré en ta compagnie ; ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se marier avec elle : c'est là un privilège pour toi, à l'exclusion des autres croyants.

Nous savons certes, ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des captives (ou esclaves) qu'ils possèdent, afin qu'il n'eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».

 

Avec ce verset, Mahomet pouvait s’octroyer un nombre illimité de femmes entre épouses et captives réduites à l’esclavage sexuel.

Pour montrer qu’il n’y a pas le moindre doute, on pourra se référer à l’exégèse d’Al Qourtoubi, l’une de trois exégèses qui font autorité dans l’islam :

http://quran.al-islam.com/Page.aspx?pageid=221&BookID=14&Page=1

 

« Allah a rendu licite au Prophète et aux hommes de sa communauté des musulmans, (de prendre comme esclaves-concubines) les prisonnières sans aucune limite. Il a rendu licite au Prophète, les épouses sans limitation, alors qu’il a établi une limitation aux autres musulmans.

Il a également rendu licite pour le Prophète, ce qu’il a possédé comme captives parmi les mécréantes. C’est le butin (Al Faye) auquel a droit le Prophète. Ce qui signifie qu’Allah a rendu licite pour le Prophète, ce qu’il a possédé comme butin parmi les femmes par la victoire et la conquête. »

 

 

 

Après s’être servi en premier, Mahomet s’occupe de ses compagnons : Ils ont droit à quatre épouses « seulement » et â un nombre illimité d'esclaves sexuelles :

 

Coran (Sourate 8: Verset 69) : « Disposez donc de ce qui vous est échu en tant que butin licite et pur

 

 

Coran (Sourate 4 : Verset 3) : «Il vous est permis d'épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n'être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves (achetées ou captives de guerre)  que vous possédez. »

 

 

Coran (Sourate 23:Verset 6) : «Sont bienheureux les croyants qui se gardent de tout rapport charnel, sauf avec leurs épouses ou les esclaves sexuelles (captives de guerres ou achetées)  qu'ils possèdent, car en cela, personne ne peut les blâmer

 

 

  

Le commerce des esclaves sexuelles dans l’islam

 

Le verset le plus intéressant montre le mépris total qu’éprouvait Mahomet pour les filles et les femmes de ses victimes. Ce mépris a été transmis à des générations de moudjahidines qui, pendant quatorze siècles, peuvent capturer et violes les femmes, les filles et même les fillettes, avec la bénédiction d’Allah :

 

Coran (S4 :V23-24) : « Vous sont interdites vos mères, filles, sœurs…et parmi les femmes, celles qui ont un mari, sauf si elles sont vos captives de guerre ».

 

 

Parmi les premiers historiens musulmans qui rapportent cet épisode monstrueux de la vie de Mahomet, on citera Abu Dawud (Sunane Abu Dawud : Livre du mariage, Hadith 2155) :

 

«Mahomet lança une expédition à Awtas, lors de la bataille de Hunayne. Ses soldats tuèrent les mécréants et prirent les survivants comme prisonniers. Les soldats hésitaient à violer les femmes capturées en présence de leurs maris mécréants. Alors Allah autorisa aux musulmans ces viols, en révélant à Mahomet ce verset du Coran : « Vous sont interdites les femmes  mariées, sauf si elles sont vos captives de guerre».

 

Ainsi, Allah autorise non seulement de violer des captives, mais de le faire du vivant de leurs maris. Et on constatera, que même les guerriers habitués aux pires massacres, hésitèrent devant cette monstruosité : le viol des femmes en présence de leurs maris. Mais Allah ne reculait devant aucune barbarie. Le Dieu de Mahomet, lui révéla sa loi « divine » qui légitime cette barbarie. Des générations de moudjahidines violeurs ont commis cette barbarie pendant quatorze siècles. Aujourd’hui, les moudjahidines de l’Etat Islamique et de Boko Haram, continuent à violer les fillettes, les filles et les femmes de leurs victimes. La seule différence, avec les époques précédentes, réside dans l’hypocrisie des autorités musulmanes, des médias et des responsables politiques occidentaux, qui continuent à pratiquer le déni de réalité en affirmant avec un cynisme incroyable que cette barbarie n’a rien à voir avec l’islam.

 

6.   L’État Islamique applique la Sunna de Mahomet et les préceptes du Coran concernant les captives réduites à l’esclavage sexuel.

 

 

Femmes ayant subi l’esclavage sexuel de l’Etat islamique.

 

Dans son numéro du 15 janvier 2015, le journal « Au féminin suisse » publiait l’article intitulée : « Comment violer et battre des femmes : l'ignoble guide de l'Etat Islamique ».

 

http://www.aufeminin.com/news-societe/l-etat-islamique-publie-un-guide-pour-violer-les-esclaves-sexuelles-s1196219.html

 

La journaliste Laure Gauterin annonçait la publication par l’Etat Islamique de sa législation concernant la manière de traiter les captives de guerres réduites à l’esclavage.

 

En totale contradiction avec la vérité, Laure Gauterin écrivait dans cet article :

« Pour justifier ces règles, le texte s'appuie sur la Charia telle que l'interprète l'Etat Islamique et cite des textes soi-disant tirés du Coran comme Allah récompense les musulmans qui sont chastes avec leurs femmes et ce qu'ils possèdent ».

 

Cette journaliste veut à tout prix exonérer l’islam et le Coran de leur responsabilité accablante dans l’esclavage sexuel pratiqué pendant quatorze siècles par le monde musulman et appliqué aujourd’hui encore par l’Etat Islamique et Boko Haram. Cette journaliste ne recule pas devant le mensonge flagrant, en niant les préceptes du Coran et les lois de la Sharia. On a vu dans le paragraphe précédent que le Coran légitime l’esclavage sexuel. Cette barbarie a été pratiquée par Mahomet et ses disciples : elle est légitimée par les lois de la Sharia et par la Sunna de Mahomet.

 

Cette journaliste illustre bien le comportement des médias et des responsables politiques occidentaux, qui pratiquent la désinformation et n’hésitent pas à déformer la réalité des textes pour exonérer ‘islam de sa responsabilité accablante dans la barbarie infligée aux filles, fillettes et femmes réduites à l’esclavage sexuel.

Pour confirmer que l’Etat Islamique se base d’une manière précise sur le Coran et la Sunna de Mahomet, on reprend le guide publié par cette organisation.

 

Ce guide fournit des réponses précises et rappelle les préceptes du Coran et les Hadiths de Mahomet. Ce guide précise ses arguments pour ses combattants qui se posent ce genre de questions : « à quelles conditions une femme peut-elle être réduite en esclavage, quand la battre et la violer ? »

 

Ce guide a été publié par le "Département des prisonniers et des affaires de la femme" de l'Etat islamique.

Il répond à 27 questions de ce type avec des instructions tout aussi glaçantes, qui montrent le degré de barbarie des préceptes du Coran et des Hadiths de Mahomet sur l’esclavage sexuel.

 

 

   

 

 

Règles à appliquer par les musulmans sur les fillettes et femmes esclaves sexuelles


http://www.dreuz.info/2014/12/regles-a-appliquer-par-les-musulmans-sur-les-fillettes-et-femmes-esclaves-sexuelles/  

Question 1 : Qu’est-ce qu’Al Sabiya ?

Al Sabiya est une femme appartenant aux Ahl al-harb [gens de la guerre : les peuples que l’islam doit combattre] qui a été capturée par des musulmans.

Question 2 : Qu’est-ce qui rend al Sabiya permise ?

Ce qui rend al Sabiya (la captive) permise [ou ce qui nous autorise à en faire une captive], c’est son incroyance (sa mécréance ou son infidélité). Les mécréantes qui ont été capturées et amenées en terre d’islam (maison de l’islam) nous sont permises (c’est-à-dire que nous pouvons avoir avec elles des rapports charnels), après que l’imam ait mis la main dessus et nous les a distribuées.

Question 3 : Toutes les incroyantes peuvent-elles être faites captives ?

Il n’y a pas de désaccord entre érudits quant à l’autorisation de capturer des incroyantes [caractérisées par] une incroyance originelle ["Al Kufr" : infidélité ou mécréance], à l’instar des femmes parmi les gens du Livre, à savoir les juives et les chrétiennes ("Al Kitabiyates») et des polythéistes (c’est-à-dire des païennes comme les femmes Yazidies). Toutefois, les savants musulmans sont en désaccord quant à la capture de femmes apostâtes (c’est-à-dire les musulmanes qui ont quitté l’islam). Le consensus tend à l’interdire, bien que certaines personnes instruites considèrent qu’elle est permise. Nous, l'Etat Islamique, nous penchons vers l’acceptation du consensus.

Question 4 : Est-il permis d’avoir des rapports sexuels avec une captive?

Il est permis d’avoir des rapports sexuels avec la femme captive. Allah le Tout-Puissant a dit : ‘[Glorieux sont les croyants] qui gardent leur chasteté, sauf avec leurs épouses ou [les captives et esclaves] que leur main droite détient, car alors ils sont exempts de blâme [Coran Sourate 23: Versets 5-6]’. L’expression « ce que leur main droite détient » signifie les captives qu’ils ont capturées.

Question 5 : Est-il permis d’avoir des rapports avec une captive immédiatement après en avoir pris possession ?

Si elle est vierge, il [son maître] peut avoir des rapports avec elle immédiatement après en avoir pris possession. Toutefois, si elle ne l’est pas, son utérus doit [d'abord] être purifié (c’est-à-dire qu’il faut attendre qu’elle ait ses règles). Cela est conforme au Hadith (ou parole de Mahomet) rapporté par Abu Dawud tel qu’il a été transmis par Saïd Al Khudhri : le Prophète Mahomet a dit sujets des captives de la bataille d’AwTass : « N’ayez pas de rapport avec une captive enceinte jusqu’à ce qu’elle donne naissance à son bébé. Quant aux captives qui ne sont pas enceintes, attendez qu’elles aient eu leurs règles ».

Question 6 : Est-il permis de vendre une captive ?

Il est permis d’acheter, de vendre ou d’offrir en cadeau les captives et esclaves, parce qu’elles sont simple propriété dont on peut disposer à son gré, tant que cela ne cause pas de dommage ou préjudice [à la communauté des musulmans].

Question 7 : Est-il permis de séparer une mère de ses enfants par l’achat et la vente ?

Il n’est pas permis de séparer une mère de ses enfants pré pubères par l’achat, la vente ou le don en cadeau. [Mais] il est permis de les séparer si les enfants sont grands et mûrs.

Question 8 : Si deux [hommes] ou plus achètent une femme ensemble, devient-elle permise pour chacun d’eux ?

Il est interdit d’avoir des relations sexuelles avec une captive si [le maître] n’en est pas le propriétaire exclusif. Celui qui possède [une captive] en partenariat [avec d'autres] ne pourra pas avoir de rapports sexuels avec elle tant que les autres [propriétaires] ne lui auront pas vendu ou cédé [leur part].

Question 9 : Si la captive a été fécondée par son propriétaire, peut-il la vendre ?

Il ne peut pas la vendre si elle devient la mère d’un enfant. Et quand son esclavage a expiré, elle devient libre.

Question 10 : Si un homme meurt, que stipule la loi concernant la captive qui lui appartient ?

Les captives sont distribuées dans le cadre de sa succession selon les lois (musulmanes) de l’héritage, tout comme le reste [de ses biens]. Toutefois, elles ne fourniront que des services, par de rapports sexuels, si le père ou l’un des fils a déjà consommé le rapport, ou si plusieurs en héritent en partenariat.

Question 11 : Un homme peut-il avoir des rapports avec l’esclave de sa femme ?

Un homme ne peut pas avoir de relations avec l’esclave de sa femme, parce que [cette esclave] est la propriété d’un autre.

Question 12 : Un homme peut-il embrasser la femme esclave d’un autre, avec la permission du propriétaire ?

Un homme ne peut pas embrasser l’esclave d’un autre, car embrasser [implique] du plaisir, et le plaisir est interdit si [l'esclave] n’est pas votre propriété exclusive.

Question 13 : Est-il permis d’avoir des rapports avec une femme esclave qui n’a pas atteint la puberté ?

Il est permis d’avoir des rapports sexuels avec une fille esclave non encore pubère si elle est capable de rapports ; toutefois si elle n’est pas apte aux rapports sexuels, on se contentera d’en jouir sans rapport (c’est-à-dire sans pénétration vaginale).

Question 14 : Quelles sont les parties intimes de la femme esclave qui doivent être cachées pendant la prière ?

Ses parties intimes [devant être recouvertes] pendant la prière sont les mêmes que celles [qui doivent l'être] en dehors de [la prière], c’est-à-dire l’ensemble du corps hormis la tête, le cou, les mains et les pieds.

Question 15 : Une femme esclave peut-elle se trouver en présence d’hommes étrangers sans voile (hijab) ?

Une femme esclave est autorisée à révéler sa tête, son cou, ses mains et ses pieds devant des hommes étrangers si la fitna [ici : dissension provoquée par la tentation] peut être évitée. Cependant, s’il y a fitna, ou si la fitna est à craindre, il lui sera interdit [de révéler ces parties de son corps].

Question 16 : Peuvent deux sœurs être capturées ensemble comme esclaves ?

Il est permis d’avoir deux sœurs, une femme esclave et sa tante [sœur de son père], ou une femme esclave et sa tante [du côté de sa mère]. Mais elles ne pourront pas être [prises] ensemble dans les rapports sexuels, [et] celui qui a des rapports sexuels avec l’une ne pourra en avoir avec l’autre, en raison du [consensus] général sur cet interdit.

Question 17 : Qu’est-ce qu’AL-’AZL?

AL-’AZL signifie : s’abstenir d’éjaculer dans le vagin d’une femme [interruption de coït].

Question 18 : Un homme peut-il utiliser la [technique] d’AL-’AZL avec sa femme esclave ?

Un homme est autorisé [à utiliser] AL-’AZL pendant les rapports sexuels avec sa femme esclave, avec ou sans son consentement.

Question 19 : Est-il permis de battre une esclave ?

Il est permis de battre la femme esclave comme dans le but de la discipliner (dharb ta’dib : coups destinés à discipliner), mais il est interdit de recourir aux coups qui cassent (dharb al-taksir : coups provoquant une cassure), aux coups destinés à donner du plaisir (dharb al-tashaffi : battre dans le but d'obtenir une gratification), ou aux coups destinés à torturer (dharb al-ta’dhib : coups de torture). En outre, il est interdit de frapper au visage.

Question 20 : Quelle est la loi pour une esclave qui prend la fuite ?

La fuite d’un esclave homme ou femme fait partie des plus graves péchés. Mansour Abdel Rahmane cite Acha’biye qui cite Jarariye qu’il a été entendu : « chaque fois qu’un esclave est en fuite de chez son maître, il est apostat jusqu’à ce qu’il retourne à son maître ». Mansour affirme : « Par Allah il a été raconté sur le Prophète Mahomet, mais je refuse qu’il soit raconté sur moi que j’ai l’ai vu » (Hadith Sahihe Muslim)

Question 21 : Quelle sera la peine en ce monde pour une esclave qui se sera enfuie de son maître ?

Elle [la femme esclave qui fuit son maître] n’encourt aucun châtiment selon la charia d’Allah. Toutefois, elle sera réprimandée durement [de manière] à dissuader les autres comme elle de s’enfuir.

Question 22 : Est-il permis d’épouser une [esclave] musulmane ou une esclave kitabiyya [juive ou chrétienne] ?

Il n’est pas permis à un [homme] libre de se marier à des esclaves musulmanes ou celles appartenant aux gens du Livre, c’est-à-dire les chrétiennes et les juives (Al Kitabiyates), sauf s’ils craignent de commettre un péché, c’est-à-dire le péché de fornication. Allah a dit : « Et quiconque parmi vous n'a pas les moyens pour épouser des femmes libres (non esclaves) croyantes, eh bien (il peut épouser) une femme parmi celles de vos esclaves croyantes…Ceci est autorisé à celui d'entre vous qui craint la débauche; mais ce serait mieux pour vous d'être endurant. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux » (Coran Sourate 4 : Les Femmes, verset 25).

 

Question 23 : Si une esclave se marie, peut-elle exiger de partager le lit de son maître ?

Ibn Qadam al  Mouqadissi a dit : « il ne peut y avoir d’obligation pour un maître de la part de ses femmes esclaves. Mais si une femme esclave a besoin de rapports sexuels, son maître doit la satisfaire, soit par accouplement, soit par son mariage, soit par sa vente » (Al Boughni).

 

Question 24 : Si un homme épouse une femme esclave qui est la propriété d’un autre, qui est autorisé à avoir des rapports avec elle ?

Un maître ne pourra avoir de rapports avec son esclave si celle-ci est mariée à un autre : le maître jouira de ses services, [tandis que] le mari jouira d’elle [sexuellement].

Question 25 : Les châtiments corporels coraniques (Al Houddoud) peuvent-ils être appliqués aux femmes esclaves ?

Si une femme esclave a commis ce qui requiert un châtiment corporel prévu par le Coran, le châtiment lui sera administré. Cependant, le châtiment sera réduit de moitié si c’est un châtiment qui peut [légalement] être réduit de moitié. Allah a dit : « (les femmes esclaves) vertueuses et non pas livrées à la débauche ni ayant des amants clandestins. Si, une fois engagées dans le mariage, elles commettent l'adultère, elles reçoivent la moitié du châtiment qui revient aux femmes libres (non-esclaves) mariées » (Coran Sourate 4 : les Femmes, Verset 25).

 

Question 26 : Une esclave peut-elle se racheter elle-même ?

Oui, cela est permis. Cette action s’appelle « Al Mukataba »

 

Question 27 : Quelle est la récompense pour la libération d’une esclave ?

Allah l’Encensé a dit [dans le Coran] : Qu’est-ce qui peut te faire comprendre ce que signifie se dégager [de l'enfer] ? C’est la libération d’un esclave. Et [le prophète Mahomet] a dit : « Celui qui libère une esclave croyante, Allah libère tous les organes de son corps de feu de l’enfer. »

An Nawawi explique dans son commentaire de ce Hadith, que la libération d’une esclave compte parmi les meilleures actions qui permettent d’entrer au paradis.

La question 28 à 32 précisent comment la manière dont le musulman peut obtenir le pardon de ses péchés par la libération d’un esclave.

 

7.   L’esclavage pendant quatorze siècles.

 

L’esclavage et l’esclavage sexuel musulman, ne s’est pas limité à la période de Mahomet.

En fait, cet esclavage a perduré sans discontinuité pendant quatorze siècles. On peut consulter le remarquable ouvrage : Le génocide voilé - enquête historique de Tidiane N'Diaye (Aux Editions Gallimard dans la collection Continents noirs)

 

 

Cet ouvrage constitue une enquête historique sérieuse sur la traite des Noirs d’Afrique par le monde arabo-musulman.

Ce livre dérange car il remet en cause bon nombre d'idées reçues sur un sujet encore sensible.

 

L’esclavage en Afrique, principalement vu du côté arabo-musulman.

 

Son auteur, Tidiane N'Diaye, est un anthropologue et un économiste de renom franco-sénégalais travaillant pour l'INSEE et auteur de nombreuses études et publications scientifiques.

Son ouvrage au titre sulfureux et intrigant, paru en 2008, ne pouvait que présenter une vérité forte et troublante.

Tout commence en 652, date à laquelle un traité de paix, connu sous le nom de Bakht, entre l'émir Abdallah ben Saïd et le roi de Nubie Khalidurat stipule, entre autres avantages, la livraison chaque année de 360 esclaves des deux sexes en échange de l’absence de guerre.

Ce fut le début d'un long processus pendant lequel l'Afrique fut mis à sac, ponctionné par des prélèvements réguliers de populations emmenées en esclavage dans les pays du Golfe jusque dans l'empire Ottoman.

Cette traite des noirs par des arabo-musulmans ne s'acheva - officiellement - qu'au XXe siècle, ce qui nous donne l'ampleur du massacre.

Car massacre il y eût. Il fut de taille et toute tentative de le quantifier s’avère impressionnante : « du VIIe au XVI siècle, pendant près de mille ans, …, [furent déportés] près de dix millions d'Africains avant l'entrée en scène des Européens. ».

Le poids de ces captures fut lourd. Stanley, le tristement célèbre explorateur, le constata lors de ses voyages : « La capture des 10 000 esclaves par cinq expéditions d'Arabes n'a pas coûté la vie à moins de 33 000 personnes ».

Il s’agit là de personnes qui périrent en se défendant et en protégeant leur village lors des razias. Il faut y ajouter celles qui moururent sur le bord de la route de la captivité faute de soin et de nourriture, route balisée, selon les dires, par les ossements des laissés pour compte et de tous ceux qui n’étaient pas jugés suffisamment intéressant commercialement parlant.

 

Selon l'auteur, du VIIe au XXe siècle, l'une des études les plus sérieuses estime à plus de 9 millions le nombre d'individus déportés à travers le Sahara auxquels il faut ajouter 8 autres millions de personnes déportées en Afrique de l'Est (Mer Rouge et Océan Indien) soit un total de 17 millions d'individus.

Une question se pose alors. Compte tenu de l’importance de ces flux, comment se fait-il que l’on ne conserve pas trace aujourd’hui dans les pays arabes de descendants de ces esclaves comme cela est le cas en Amérique ?

 

On peut estimer à 13 millions le nombre d'esclaves déportés outre-Atlantique entre 1451 et 1870. Le résultat est aujourd'hui une diaspora noire dynamique et forte de plus de 70 millions de personnes aux États-Unis, dans les Caraïbes et au Brésil.

 

Comment se fait-il que l'on ne retrouve pas l'équivalent dans les pays arabo-musulmans ?

La réponse est à la fois simple et terrifiante : les esclaves mâles étaient systématiquement émasculés afin d’empêcher toute procréation. Compte tenu des soins et de l’hygiène de l’époque, il s’agissait là encore d’un vrai massacre car on estime que seuls 30% de ces torturés restaient en vie.

 

Quant aux femmes – qui jouaient le rôle de servantes et d’objets sexuels – il était facile de faire en sorte que leur progéniture ait une espérance de vie très limitée.

C’est en cela qu’il s’agit d’un véritable génocide : un massacre délibéré de populations noires en grande quantité et, ce, pendant plusieurs siècles afin de profiter d’une main d’œuvre économique.

 

Si l'Occident a reconnu la traite négrière comme étant un crime contre l'humanité, un grand silence règne dans le même temps du côté arabe. D’autant que ces exactions ne sont pas aujourd'hui totalement éradiquées mais adoptent d'autres formes de traite plus contemporaines.

C’est le sens de ce livre que de continuer de lutter et de dénoncer ces pratiques inhumaines en espérant que la triste formule de l’historien arabe du XIVe siècle, Ibn-Khaldoun, finisse par être définitivement abolie : "Les seuls peuples à accepter l'esclavage sont les nègres, en raison d'un degré inférieur d'humanité, leur place étant plus proche du stade animal."

 

Voir l’exposé de Tidiane N'Diaye sur : https://www.youtube.com/watch?v=jcIcd3T2BMw

 

 

La traite négrière se pratiquait à travers le Sahara, comme le montre cette carte.

On peut également consulter le site :

http://www.pointsdereperes.com/articles/la-traite-arabo-musulmane-des-noirs

 

L’auteur affirme :

 

« Je dois reconnaître qu’à l’instar de centaines de millions de gens instruits, je croyais également que la traite négrière était le seul fait des chrétiens européens, des blancs.

Et ce, jusqu’à ce que je me mette à approfondir le sujet, et plus particulièrement après avoir lu un livre remarquablement instructif sur le sujet « The legacy of Arab-Islam in Africa » de John Alembillah Azumah.

 

Cela a radicalement changé ma perspective et ma conception des choses, et j’aimerais que vous nous en disiez en disiez plus sur le sujet.

 

Ce que la plupart des descendants d'esclaves ignorent ...

 

L’islam a réussi de façon stupéfiante à tromper, désinformer, déformer et fausser à la fois la réalité et l’histoire sur une période de près de 14 siècles, tout au moins jusqu’à aujourd’hui.

 

  Une image contenant texte, carte

Description générée automatiquement

 

Ce qu’il y a de plus particulièrement tragique, c’est que la plupart des descendants d’esclaves, les noirs des Amériques dans le monde, et les noirs d’Afrique descendants d’esclaves, ignorent tout de la vérité.

 

 

Avant que la concentration de nos auditeurs ne s’émousse, je voudrais porter l’affirmation suivante et l’étayer ensuite : la pire, la plus inhumaine, la plus diabolique institution de la traite négrière fut initiée, définie, perpétrées et mise en œuvre par les arabes mahométans, aidés par la suite par les noirs convertis à l’islam.

Je prédis que comme toujours, deux sous-cultures, celle du déni de la réalité et celle du politiquement correct, nous attaqueront sans même réfuter la moindre de nos affirmations et/ou conclusions.

L'esclavage n'a pas été créé par les blancs ...

L’esclavage n’a pas été créé par les blancs, il a existé au travers de l’histoire de l’humanité et a été pratiqué par toutes les tribus, cultures, civilisations, groupes ethniques, et religions.

En fait, le mot même « esclave » a pour racine le nom « slave » qui vient lui-même du peuple slave d’Europe.

Tout le monde ne sait pas que le mot arabe « ‘abd » est synonyme d’esclave – par exemple, Abdallah signifie littéralement « l’esclave d’Allah » -, et que dans la langue arabe, les noirs sont appelés « ‘abid », pluriel du mot esclave.

Alors qu’on a beaucoup écrit sur la traite atlantique, on s’est étonnamment peu intéressé aux traites islamiques du Sahara, de la mer Rouge et de l’océan Indien.

Le coran permet la prise d'esclaves comme butin ou rétribution

Alors que l’implication des Européens dans la traite vers les Amériques dura un peu plus de trois siècles, l’implication des Arabes dans la traite négrière a duré quatorze siècles et, dans certaines parties du monde islamique, perdure toujours.

La naissance de l’islam et sa conquête a provoqué la naissance d’un commerce d’esclaves institutionnalisé, systématisé, ayant l’approbation religieuse, et à très grande échelle.

En fait, le coran permet la prise d’esclaves comme butin ou rétribution, des guerres d’agression contre les infidèles, c’est-à-dire la plupart de l’humanité.

Cela a conduit à un nombre incroyable de guerres prétendument saintes, le djihad en arabe.

Il n’y avait et n’a absolument rien de saint à ces guerres, qui visent essentiellement à piller, massacrer, violer, soumettre et voler d’autres êtres humains de leur richesse, production, liberté et dignité.

Les États et tribus musulmanes attaquaient les groupes non-musulmans dans ces buts.

Bien que la jurisprudence islamique eût fixé des règles relatives au traitement des esclaves, ils furent l’objet de mauvais traitements monstrueux au cours de l’histoire musulmane.

La traite islamique des esclaves noirs se pratiquait à grande échelle

 

Au Moyen Âge, le mot arabe « ‘abid » désignait généralement un esclave noir, le mot « mamelouk » un esclave blanc.

 

 

Ibn Khaldoun (1332-1406), l’éminent historien médiéval et philosophe social musulman, écrivait : « Les nations nègres sont en règle générale dociles à l’esclavage.»

Il faut aussi remarquer que esclaves noirs étaient castrés, les noirs étant censés avoir une libido impossible à maîtriser.

Quand le califat fatimide arriva au pouvoir en Égypte, il extermina la totalité des esclaves-soldats noirs, plusieurs dizaines de milliers, et leva une nouvelle armée d’esclaves.

Certains furent recrutés dès l’âge de dix ans. De la Perse à l’Égypte ou au Maroc, les armées de 30 000 à 250 000 esclaves devinrent chose commune.

La traite islamique des esclaves se pratiquait à travers le Sahara, de la côte de la Mer Rouge, et de l’Afrique Orientale jusqu’à l’Océan Indien.

La traite transsaharienne se faisait par six itinéraires principaux.

Au seul 19e siècle, pour lequel nous avons les archives les plus exactes, 1 200 000 esclaves furent emmenés via le Sahara jusqu’au Moyen-Orient, 450 000 de plus par la Mer Rouge, et 442 000 par les ports de la côte d’Afrique Orientale.

Cela fait un total de 2 millions d’esclaves noirs pour le seul 19e siècle.

 

L'ignorance des musulmans noirs de la réalité de leur passé

 

Si l’on compare la traite des esclaves mahométane avec celle d’Amérique, on découvre des différences très intéressantes : alors que deux esclaves sur trois emmenés en Amérique étaient des hommes, la proportion était de deux femmes sur trois pour la traite mahométane.

Alors que la quasi-totalité des esclaves d’Amérique étaient employés dans l’agriculture, la majorité des esclaves du Moyen-Orient musulman étaient destinés à l’exploitation sexuelle dans les harems, ou à servir dans l’armée.

Alors que les esclaves d’Amérique firent beaucoup d’enfants – avec des millions de descendants aujourd’hui citoyens du Brésil et des États-Unis, il survécut très peu de descendants des esclaves du Moyen-Orient.

Alors que la plupart des esclaves d’Amérique purent se marier et avoir des enfants, la plupart des esclaves mâles au Moyen-Orient furent castrés et la plupart des enfants nés de femmes esclaves furent tués à la naissance.

Ce qui est obscène dans ce sujet de la part de la culture arabe et musulmane c’est le déni de sa complicité avec la traite des esclaves africaine, ainsi que l’ignorance des musulmans noirs de la réalité de leur passé et de leurs conditions présentes.

Les statistiques et les rapports ci-dessus sont tirés de journaux de bord des vaisseaux et des ports esclavagistes, d’observations de voyageurs et de témoins oculaires, etc.

Mesdames et Messieurs, les faits et la réalité de la complicité mahométane dans la traite des esclaves, alliés à leur dépravation inhumaine, sont infiniment plus accablants, stupéfiants et incompréhensibles que toutes les fictions cauchemardesques.

L’esclavage ottoman et barbaresque.

 

(Voir sur Wikipédia : Esclavage dans l'Empire ottoman :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_dans_l%27Empire_ottoman

L’esclavage dans l’Empire ottoman constitue une important partie juridique de l’économie et la société et de l’Empire ottoman jusqu’à l’interdiction de l’esclavage des peuples du Caucase au début du XIXème siècle, bien que l’asservissement d’autres groupes soit resté autorisé.

En 1609, environ un cinquième de la population d’Istanbul, le centre administratif et politique de l’Empire ottoman, était composée d’esclaves 3. Même après plusieurs mesures visant à interdire l’esclavage à la fin du XIXème siècle, la pratique a continué largement sans discontinuer jusqu’au début du XXème siècle. Pas plus tard qu’en 1908, les femmes étaient encore vendues comme esclaves dans l’Empire ottoman.

Il faut préciser un élément essentiel, qui caractérise l’ensemble de l’esclavage musulman, depuis Mahomet jusqu’à nos jour : c’esclavage sexuel des esclaves, que leur esclavage résulte d’un achat ou du fait qu’elles soient captives de guerre. Cet esclavage sexuel est conforme aux prescriptions coraniques, à la Sunna de Mahomet et au Droit musulman. Sur ce point, il y a unanimité entre les quatre écoles de jurisprudence : Malékite, Chaféite, Hanbalite et Hanafite.

 

L’esclavage sexuel a constitué un élément central de l’esclavagisme durant toute l’histoire du système ottoman :

L’esclavage sexuel a constitué un élément central de l’esclavagisme durant toute l’histoire du système ottoman.

 

Dans le « devchirmé », qui signifie « impôt du sang » ou « collecte d’enfant », les jeunes chrétiens des Balkans et d’Anatolie étaient pris à leurs familles, convertis à l’islam.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_dans_l%27Empire_ottoman#/media/File:Janissary_Recruitment_in_the_Balkans-Suleymanname.jpg :

« Janissary Recruitment in the Balkans-Suleymanname » par Ali Amir Ali Amir Beg (fl. 1558) — Süleymannâme, Istanbul, Topkapi Palace Museum –

 

 

 

Les manuscrits ottomans décrivent les tortures infligés aux esclaves, comme le montre cette miniature _

https ://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_dans_l%27Empire_ottoman#/media/File :Charaf-ed-Din._Operation_for_castration_(1466).jpg :

« Charaf-ed-Din. Operation for castration (1466) » par Charaf-ed-Din — Bibliothèque Nationale, Paris, France.

On voit ainsi que l’esclavagisme a toujours fait partie intégrante de l’islam. Quand on parle de l’âge d’or de l’islam, il faut souligner que le Califat de cet âge d’or pratiquait l’esclavagisme à une très grande échelle

8.   Conclusion.

En conclusion, reviendra à notre époque. Pour traduire la détresse des femmes et des fillettes réduites à l’esclavage sexuel, on présentera le témoignage de la Sœur Hatune Gogan. Elle travaille auprès des réfugiées en Iraq et en Syrie. Ce témoignage figure dans l’article : Sœur Hatune Dogan : « L’islam c’est l’État Islamique : quiconque dit le contraire ment » :

http://www.christianophobie.fr/breves/soeur-hatune-dogan-lislam-cest-letat-islamique-quiconque-dit-le-contraire-ment  

 

SisterHatuneDoganL

 

Née en Turquie en 1970, sœur Hatune Dogan est une religieuse syro-orthodoxe qui appartient, aujourd’hui, au monastère syro-orthodoxe de Warburg, en Allemagne. Encore enfant, elle a du fuir avec sa famille persécutée son pays natal pour se réfugier en Allemagne. Elle a commencé son intense travail de charité pour les pauvres et les persécutés dès l’âge de 18 ans et a fondé en Allemagne une fondation de bienfaisance, la Hatun Foundation, reconnue par la République fédérale et dont elle a reçu la plus haute distinction civile. Sa fondation œuvre dans 35 pays et notamment, en raison de la situation présente, au Moyen-Orient où elle se rend souvent, notamment en Syrie et en Irak. Elle n’hésite pas à sillonner le monde entier pour attirer l’attention sur la situation dramatique des chrétiens et appeler à l’aide. En ce mois de mai elle se trouvait aux États-Unis où elle a, notamment, accordé le 9 un entretien à CBN (Christian Broadcasting Network), une chaîne de télévision fondée en Virginie par le télévangéliste Pat Robertson. Dans ce très intéressant entretien mis en ligne le 11 mai, sœur Hatune Dogan, qui ne mâche pas ses mots, dénonce la situation des chrétiens et assène quelques vérités non politiquement correctes sur l’État Islamique. Voici la traduction de ses propos en anglais que vous pourrez entendre dans cette courte vidéo que je vous invite à découvrir ci-dessous. Elle dénonce, d’abord, l’abomination de ces femmes chrétiennes et yazidies asservies et vendues comme du bétail :

 

« Ils [les combattants de l’État Islamique] choisissent les plus belles d’entre elles, même si elles ont des enfants en bas âge, et se revendent entre eux ces filles, ces femmes. Ils ne les vendent pas à des gens d’une autre religion, mais uniquement à ceux de la leur, la sunnite (…) Il y a jusqu’à 12 000 otages, pour ne parler que des Yazidis, entre les mains de l’EIIL [État Islamique en Irak et au Levant]. Ce qui se passe là-bas, ce dont j’ai eu connaissance, c’est le dernier degré de la barbarie jamais connue dans l’histoire jusqu’à nos jours (…) Je ne suis pas venue ici [aux États-Unis] pour des vacances. Je suis venue ici pour apporter la voix de ceux qui sont privés de voix. Je suis leur canal. C’est cela ma mission (…) La mission de (Abu Bakr) Baghdadi de l’État Islamique, c’est de convertir le monde entier à la religion islamique et de le faire entrer dans le [Dar al-Islam] comme ils le disent. Et l’islam ce n’est pas la paix. Quiconque dit que l’EIIL n’a rien à voir avec l’islam, ou des choses de ce genre, est un menteur. L’EIIL c’est l’islam, et l’islam c’est l’EIIL (…) Nous avons qu’en islam la démocratie n’existe pas. L’islam et la démocratie sont opposés comme le blanc et le noir. J’espère que l’Amérique va le comprendre. L’Amérique aujourd’hui à le pouvoir d’arrêter ce désastre en train de s’accomplir sur notre terre, avec l’aide d’autres pays occidentaux ».

 

   

Femmes victimes de l’esclavage sexuel appliqué par l’État islamique.

On peut écouter le témoignage de Hamad Abdessamad sur cette vidéo :

HAMED ABDEL-SAMAD : « Les nations arabes ont asservi les Africains »

https://www.youtube.com/watch?v=TkPuvBPwFtA